Une semaine après la malheureuse manifestation des élèves entrainant la mort des étudiants et élèves, le Président de la République a sous les yeux de l’opinion internationale et nationale montré l’exemple de l’intervention d’un médecin après la mort du patient. Il a décidé de rencontrer les différentes organisations syndicales des étudiants, des enseignants et de la société civile tout entière. L’objectif de sa rencontre avec ces dernières est d’écouter la préoccupation de tout un chacun, faire la synthèse des points relevés et prendre une décision adéquate de résolution définitive à ce port obligatoire des casques infligé aux motocyclistes. Ce jeu montre à suffisance la capacité du président tchadien Idriss Deby Itno comme un bon soldat, un stratège, de faire un repli tactique devant l’ennemi, pour fin de l’affaiblir. A cette occasion, Deby s’est réservé et a écouté tranquillement tous ce qui est de préoccupation pour sortir le pays de Toumaï de l’impasse. Mais pour quelle décision avantageuse pour le peuple? En tout cas, le Tchad a souvent montré sa maladie incurable qui est, « en voulant éviter le mal l’on tombe encore dans le pire ».
Au sortir de la salle d’audience au palais présidentiel, les représentants de certaines organisations ont montré leurs incapacités de dire le franc-parler devant le président-fondateur du parti de Bamina. L’exemple tangible est le cas des responsables de l’Unet section de N’Djaména qui, au lieu d’exprimer librement les préoccupations des étudiants tchadiens au président Deby, qui sont entre autres : le départ sans condition du ministre de l’administration du territoire et de la sécurité publique et le DG de la police; le respect strict du principe de l’inviolabilité des étudiants des enseignements supérieur au Tchad ; une enquête spéciale dans laquelle l’Unet fera partie intégrante ; la traduction en justice de tous les présumés coupables qui seront identifiés devant la justice ; baptiser le parking des bus de transport au nom de l’étudiant tombé et le suivi sanitaire de tous les blessés, ces points sont passés par le dos de cuillère.
Selon eux dans la salle d’audience, les étudiants ont tout simplement demandé le dédommagement des bien perdus lors de la manifestation et des ordinateurs promis par le président dont la première vague a été donnée déja. Ces points énumérés par ces derniers ne sont pas acceptés par les étudiants de la base, qui ont finis par mettre sur pied un comité ad hoc sensé de travailler en étroite collaboration avec le bureau national pour l’aboutissement de leur lutte commune. Et, un délai n’excédant pas 24 heures a été donné au bureau exécutif de l’union nationale des étudiants (UNET) section de N’Djaména par la base (toutes les facultés de l’université). Dans des résolutions établies lors de l’assemblée générale, la base exige le maintien de la grève sèche et illimitée dans toutes les institutions d’enseignement supérieur à N’Daména et autres points cités ci-hauts. Selon la base, tout acte qui sera commis par les représentants de la section de N’Djaména, notamment messieurs Hankoné Mensala, Haroun Khatir Ismaël Assia Boum Blagué etc. ne sera accepté et la responsabilité incombera les auteurs.
Au sortir de la salle d’audience au palais présidentiel, les représentants de certaines organisations ont montré leurs incapacités de dire le franc-parler devant le président-fondateur du parti de Bamina. L’exemple tangible est le cas des responsables de l’Unet section de N’Djaména qui, au lieu d’exprimer librement les préoccupations des étudiants tchadiens au président Deby, qui sont entre autres : le départ sans condition du ministre de l’administration du territoire et de la sécurité publique et le DG de la police; le respect strict du principe de l’inviolabilité des étudiants des enseignements supérieur au Tchad ; une enquête spéciale dans laquelle l’Unet fera partie intégrante ; la traduction en justice de tous les présumés coupables qui seront identifiés devant la justice ; baptiser le parking des bus de transport au nom de l’étudiant tombé et le suivi sanitaire de tous les blessés, ces points sont passés par le dos de cuillère.
Selon eux dans la salle d’audience, les étudiants ont tout simplement demandé le dédommagement des bien perdus lors de la manifestation et des ordinateurs promis par le président dont la première vague a été donnée déja. Ces points énumérés par ces derniers ne sont pas acceptés par les étudiants de la base, qui ont finis par mettre sur pied un comité ad hoc sensé de travailler en étroite collaboration avec le bureau national pour l’aboutissement de leur lutte commune. Et, un délai n’excédant pas 24 heures a été donné au bureau exécutif de l’union nationale des étudiants (UNET) section de N’Djaména par la base (toutes les facultés de l’université). Dans des résolutions établies lors de l’assemblée générale, la base exige le maintien de la grève sèche et illimitée dans toutes les institutions d’enseignement supérieur à N’Daména et autres points cités ci-hauts. Selon la base, tout acte qui sera commis par les représentants de la section de N’Djaména, notamment messieurs Hankoné Mensala, Haroun Khatir Ismaël Assia Boum Blagué etc. ne sera accepté et la responsabilité incombera les auteurs.