Le ministre d'État, ministre secrétaire général de la Présidence de la République, Kalzeube Payimi Deubet. © Malick Mahamat/Alwihda Info
Le ministre d'État, ministre secrétaire général de la Présidence de la République, Kalzeube Payimi Deubet, a indiqué samedi que "l'État de vulnérabilité climatique actuelle et future, selon les projections du Tchad, montre que les secteurs constituant la base de notre économie sont tous soumis aux aléas de la variabilité, des changements climatiques et l'évolution des activités anthropiques."
Selon le ministre d'État, "les conséquences socio-économiques et environnementales sont désastreuses pour les populations rurales ne vivant que des ressources naturelles."
Selon le ministre d'État, "les conséquences socio-économiques et environnementales sont désastreuses pour les populations rurales ne vivant que des ressources naturelles."
Le ministre d'État, ministre secrétaire général de la Présidence de la République, Kalzeube Payimi Deubet. © Malick Mahamat/Alwihda Info
La Semaine nationale de l'arbre est "une occasion de corriger, tant soit peu, les dégâts causés à l'environnement suite aux agissements de certains d'entre nous", a dit Kalzeubé Payimi Deubet.
Il a expliqué que dans le cadre d'un plan national, il est prévu de développer les énergies renouvelables en milieu rural et renforcer les réseaux météorologiques et climatiques.
"Planter un arbre c'est bien et cela constitue un acte de citoyenneté mais, l'entretenir et le protéger c'est encore mieux", préconise le ministre d'État, car, si "un grand bon qualitatif a été réalisé en faveur de la protection et de la conservation de l'environnement", "c'est loin d'être suffisant. Nos compatriotes doivent faire davantage".
Il a expliqué que dans le cadre d'un plan national, il est prévu de développer les énergies renouvelables en milieu rural et renforcer les réseaux météorologiques et climatiques.
"Planter un arbre c'est bien et cela constitue un acte de citoyenneté mais, l'entretenir et le protéger c'est encore mieux", préconise le ministre d'État, car, si "un grand bon qualitatif a été réalisé en faveur de la protection et de la conservation de l'environnement", "c'est loin d'être suffisant. Nos compatriotes doivent faire davantage".