En raison du manque d’orientation post-bac, chaque année, des milliers de bacheliers se retrouvent face au difficile choix d’un cursus supérieur. Cependant, la mauvaise orientation après le bac coûte cher, c'est un gâchis humain et financier. Une situation qui interpelle les autorités du système éducatif du pays.
Quel choix pour mon prochain parcours ? C'est la question fondamentale que se posent bon nombre de bacheliers, mais sans une réponse fiable. Car, avant de choisir une filière, il faut prendre maximum d’informations. Ce qui n'est pas le cas, en raison du manque d'une structure d'orientation.
Bien qu'il existe plusieurs institutions d'enseignement supérieur publiques et privées, pour accueillir ces futurs étudiants. Le choix de la filière dans les études supérieures demeure un grand défi à relever. Au fait, depuis des années l’Etat tchadien a lancé le projet de construction d’infrastructures d'enseignement supérieur, dans tous les provinces du pays pour donner la chance aux nombreux bacheliers de poursuivre leurs études.
Malheureusement, l'accès au premier cycle universitaire, sans prérequis et sans restrictions, est un facteur d'échec. Cependant, la majorité des bacheliers ne parviennent pas à choisir une filière qui correspond à leur cursus prérequis. Souvent, ils font le choix par avis et conseils des amis ou parents.
En réalité, le choix est une étape importante à franchir avec assurance, sinon c'est aussi le premier pas vers l'échec. Aujourd'hui, de nombreux bacheliers se morfondent en regrets, s'interrogent sur ce qui les a poussés à choisir telle ou telle filière.
Les études ont confirmé que beaucoup de ces futurs étudiants se sont engagés dans des filières pour lesquelles ils ne sont pas armés. Cela affecte sur leur résultat de formation. Ils perdent plusieurs années dans le cycle L1, soit ils changent d’orientation en cours de route, soit ils redoublent, soit ils quittent l'université. Même si beaucoup estiment que l'importance du choix repose souvent sur l'amour du métier.
Face à ce manque d'éclairage sur les paramètres à prendre en compte, avant de choisir une filière, conduit le plus souvent à l'échec. Cependant, l’option la plus sûre et salvatrice, économiquement et défendable d'un choix d'une filière, est celle faite par les experts pédagogiques. L’absence de filtre, à l’entrée de la première année à l'université, demande à être corrigé.
Toutefois, les futurs étudiants doivent comprendre qu'il existe des critères, à savoir : la qualité du corps enseignant, les ressources pédagogiques, les conditions d'études et la qualité de vie dans les campus, car le choix d'une filière commode avec un établissement d’enseignement supérieur qu'on désire poursuivre les études.
Comprendre les filières, les passerelles et les perspectives permettent se poser un bon pas d'une bonne orientation. Mais, pour parvenir à faire un choix aisé, il faut des spécialités pour y répondre. Car le choix doit correspondre aux prérequis, et ceci va l'intérêt du futur étudiant. En tout cas, le mauvais choix d'une filière après le bac coûte cher.
Quel choix pour mon prochain parcours ? C'est la question fondamentale que se posent bon nombre de bacheliers, mais sans une réponse fiable. Car, avant de choisir une filière, il faut prendre maximum d’informations. Ce qui n'est pas le cas, en raison du manque d'une structure d'orientation.
Bien qu'il existe plusieurs institutions d'enseignement supérieur publiques et privées, pour accueillir ces futurs étudiants. Le choix de la filière dans les études supérieures demeure un grand défi à relever. Au fait, depuis des années l’Etat tchadien a lancé le projet de construction d’infrastructures d'enseignement supérieur, dans tous les provinces du pays pour donner la chance aux nombreux bacheliers de poursuivre leurs études.
Malheureusement, l'accès au premier cycle universitaire, sans prérequis et sans restrictions, est un facteur d'échec. Cependant, la majorité des bacheliers ne parviennent pas à choisir une filière qui correspond à leur cursus prérequis. Souvent, ils font le choix par avis et conseils des amis ou parents.
En réalité, le choix est une étape importante à franchir avec assurance, sinon c'est aussi le premier pas vers l'échec. Aujourd'hui, de nombreux bacheliers se morfondent en regrets, s'interrogent sur ce qui les a poussés à choisir telle ou telle filière.
Les études ont confirmé que beaucoup de ces futurs étudiants se sont engagés dans des filières pour lesquelles ils ne sont pas armés. Cela affecte sur leur résultat de formation. Ils perdent plusieurs années dans le cycle L1, soit ils changent d’orientation en cours de route, soit ils redoublent, soit ils quittent l'université. Même si beaucoup estiment que l'importance du choix repose souvent sur l'amour du métier.
Face à ce manque d'éclairage sur les paramètres à prendre en compte, avant de choisir une filière, conduit le plus souvent à l'échec. Cependant, l’option la plus sûre et salvatrice, économiquement et défendable d'un choix d'une filière, est celle faite par les experts pédagogiques. L’absence de filtre, à l’entrée de la première année à l'université, demande à être corrigé.
Toutefois, les futurs étudiants doivent comprendre qu'il existe des critères, à savoir : la qualité du corps enseignant, les ressources pédagogiques, les conditions d'études et la qualité de vie dans les campus, car le choix d'une filière commode avec un établissement d’enseignement supérieur qu'on désire poursuivre les études.
Comprendre les filières, les passerelles et les perspectives permettent se poser un bon pas d'une bonne orientation. Mais, pour parvenir à faire un choix aisé, il faut des spécialités pour y répondre. Car le choix doit correspondre aux prérequis, et ceci va l'intérêt du futur étudiant. En tout cas, le mauvais choix d'une filière après le bac coûte cher.