Le secrétaire général de l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement (ADHET), Abba Daoud Nandjedé. Alwihda Info
Le secrétaire général de l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement (ADHET), Abba Daoud Nandjedé, a fait, hier, soir, au siège de son association, un point de presse pour dénoncer l’extrapolation de la position de la conférence épiscopale par certains acteurs politiques et de la société civile à des visées destructrices.
L’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement (ADHET) appelle les uns et les autres à arrêter de tirer sur l’épiscopat et sur l’église catholique qui a tout donné depuis des années à travers la Commission Justice et Paix et d’autres missions et œuvres catholiques qui participent efficacement à la paix et au développement du Tchad, tant dans le domaine de l’éducation, de la formation et de la santé.
Par ailleurs, elle invite les hommes politiques et les acteurs de la société civile au bon sens politique et à la préservation de la paix, de cesser les violences verbales inutiles et les appels à la haine de l’autre. L'ADHET invite surtout à arrêter d’agiter le spectre de conflit religieux, dit-il, puisqu’il n’en existe pas un. « Mais si l’on se rend compte que cet ordre juridique existant ne répond plus et ne permet pas au gouvernement de dérouler et de mettre en œuvre efficacement sa politique tant sur le plan social, économique et politique, on peut du point de la loi, procéder aux reformes consistant à changer cet ordre juridique pour le faire remplacer par celui qui sied le mieux ou qui permet au gouvernement de mettre efficacement sa politique en œuvre. C’est ça le souci qui a conduit le chef de l’Etat à proposer au peuple qui l’a élu sur ces réformes qui ont conduit à cette nouvelle constitution et à cette quatrième République », a expliqué le secrétaire général de l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement (ADHET), Abba Daoud Nandjedé.
L’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement (ADHET) appelle les uns et les autres à arrêter de tirer sur l’épiscopat et sur l’église catholique qui a tout donné depuis des années à travers la Commission Justice et Paix et d’autres missions et œuvres catholiques qui participent efficacement à la paix et au développement du Tchad, tant dans le domaine de l’éducation, de la formation et de la santé.
Par ailleurs, elle invite les hommes politiques et les acteurs de la société civile au bon sens politique et à la préservation de la paix, de cesser les violences verbales inutiles et les appels à la haine de l’autre. L'ADHET invite surtout à arrêter d’agiter le spectre de conflit religieux, dit-il, puisqu’il n’en existe pas un. « Mais si l’on se rend compte que cet ordre juridique existant ne répond plus et ne permet pas au gouvernement de dérouler et de mettre en œuvre efficacement sa politique tant sur le plan social, économique et politique, on peut du point de la loi, procéder aux reformes consistant à changer cet ordre juridique pour le faire remplacer par celui qui sied le mieux ou qui permet au gouvernement de mettre efficacement sa politique en œuvre. C’est ça le souci qui a conduit le chef de l’Etat à proposer au peuple qui l’a élu sur ces réformes qui ont conduit à cette nouvelle constitution et à cette quatrième République », a expliqué le secrétaire général de l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement (ADHET), Abba Daoud Nandjedé.