Le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, Dr. David Houdeingar, a s'est exprimé lundi à la presse lors du lancement des épreuves du baccalauréat session 2020. Il a expliqué que "cette pandémie a induit la nécessité de prendre des mesures barrières édictées par le gouvernement afin de freiner son expansion. Pour rendre pratique ces mesures, le gouvernement a pris un certain nombre de dispositions, notamment en mobilisant les moyens nécessaires pour permettre de répondre aux préoccupations exprimées par les responsables de l'ONECS."
Selon le ministre, "la pandémie nécessite la distanciation, ce qui a obligé les responsables à prendre des mesures permettant à ce que les élèves ne puissent pas être agglutinés et puissent respecter cette distanciation d'au moins un mètre."
"Cela entraine nécessairement une augmentation du nombre de centres. Des centres ont été créés à cet effet, pour répondre aux préoccupations. Lorsqu'on a créé les centres, il a fallu également mobiliser un encadrement conséquent, ce qui se traduit par un nombre important de présidents de centre, de surveillants, de tous ceux qui doivent intervenir dans l'organisation du baccalauréat", a relevé le ministre.
Il a précisé que le centre de Koundoul où a eu lieu le lancement, a, par exemple, été créé dans le cadre de cette pandémie.
La délégation ministérielle s'est également rendue au lycée Évangélique de la capitale. "Jusqu'à l'heure où nous sommes, nous n'avons pas appris qu'un problème particulier s'est posé quelque part. Les responsables qui sont dans les différents centres à l'intérieur du pays nous ont informé que tout se passe très très bien pour l'instant. Je pourrais vous dire que malgré la pandémie de Covid-19, cette session du baccalauréat 2020 se passe dans de très, très bonnes conditions", a rassuré Dr. David Houdeingar.
Selon le ministre, "la pandémie nécessite la distanciation, ce qui a obligé les responsables à prendre des mesures permettant à ce que les élèves ne puissent pas être agglutinés et puissent respecter cette distanciation d'au moins un mètre."
"Cela entraine nécessairement une augmentation du nombre de centres. Des centres ont été créés à cet effet, pour répondre aux préoccupations. Lorsqu'on a créé les centres, il a fallu également mobiliser un encadrement conséquent, ce qui se traduit par un nombre important de présidents de centre, de surveillants, de tous ceux qui doivent intervenir dans l'organisation du baccalauréat", a relevé le ministre.
Il a précisé que le centre de Koundoul où a eu lieu le lancement, a, par exemple, été créé dans le cadre de cette pandémie.
La délégation ministérielle s'est également rendue au lycée Évangélique de la capitale. "Jusqu'à l'heure où nous sommes, nous n'avons pas appris qu'un problème particulier s'est posé quelque part. Les responsables qui sont dans les différents centres à l'intérieur du pays nous ont informé que tout se passe très très bien pour l'instant. Je pourrais vous dire que malgré la pandémie de Covid-19, cette session du baccalauréat 2020 se passe dans de très, très bonnes conditions", a rassuré Dr. David Houdeingar.