Qu'est-ce qui peut expliquer ces défaites à répétition ? Pour les uns, c'est une malédiction tandis que pour les autres, c'est un manque d'organisation. Communément connue sous l'appellation de « AS-défaite », l'équipe nationale du Tchad a des supporteurs qui ne sont plus surpris de voir les Sao perdre à chaque match.
Pour certains amateurs du ballon rond, c'est une malédiction. « L'équipe nationale est maudite, avant la génération de N'doram Japhet, jusqu'aujourd'hui, on n'arrive pas à participer à des compétitions comme la coupe d'Afrique », déplore Djidda Haroun, ancien joueur de Tourbillon FC.
De même que pour Claude, ancien joueur de l'équipe nationale vers 1986, rien ne peut expliquer ces défaites à répétition. « Après nous, une autre génération peut faire mieux, notamment avec Ngar Ezéchiel et Ninga Casimir qui sont des internationaux. Malheureusement, ils sont en fin de carrière sans que les Sao ne soient qualifiés à la CAN ou à la Coupe du monde », explique-t-il.
Certains ont proposé de changer le nom de l'équipe nationale, à l'exemple de l'artiste Moussa Aimé, le maire de la ville de Moundou, Laokouin Kourayo Médard et bien d'autres. Contrairement aux autres, les défaites des Sao à chaque rencontre sont une question de mauvaise organisation. Selon Guede Moïse, ancien gardien de Gazelle FC "B'', « le football aujourd'hui est une école, et il faut investir pour s'attendre à un meilleur résultat. Il faut préparer l'équipe nationale bien avant les compétions, en fixant des objectifs.
C'est ce qui peut expliquer la défaite des Sao à chaque occasion. Car ce n’est pas à la veille qu'il faut mobilier les joueurs », souligne-t-il. Cet avis est partagé par Mounine Chaïbo, supporteur de RFC : « nous avons de bons joueurs, mais il manque une politique pour le sport au Tchad. Il y a aussi le manque de volonté des joueurs.
Nous y arriverons un jour, sauf que beaucoup de travail reste à faire. Même si le président du Comité Militaire de Transition, Mahamat Idriss Déby parle d'année de sport », dit-il.
À tort ou à raison, l'équipe nationale du Tchad est en manque de tout et de rien. Comment peut-on nourrir un coq à la veille du marché pour avoir un bon prix ? De ce fait, les défaites à répétition de l'équipe nationale tchadienne peuvent s'expliquer par une mauvaise organisation.
Et même si c'est une malédiction, c'est possible d'y arriver par le travail. Cependant, beaucoup reste à faire pour que l'équipe nationale de football du Tchad puisse participer effectivement dans les compétitions des nations sportives.
Pour certains amateurs du ballon rond, c'est une malédiction. « L'équipe nationale est maudite, avant la génération de N'doram Japhet, jusqu'aujourd'hui, on n'arrive pas à participer à des compétitions comme la coupe d'Afrique », déplore Djidda Haroun, ancien joueur de Tourbillon FC.
De même que pour Claude, ancien joueur de l'équipe nationale vers 1986, rien ne peut expliquer ces défaites à répétition. « Après nous, une autre génération peut faire mieux, notamment avec Ngar Ezéchiel et Ninga Casimir qui sont des internationaux. Malheureusement, ils sont en fin de carrière sans que les Sao ne soient qualifiés à la CAN ou à la Coupe du monde », explique-t-il.
Certains ont proposé de changer le nom de l'équipe nationale, à l'exemple de l'artiste Moussa Aimé, le maire de la ville de Moundou, Laokouin Kourayo Médard et bien d'autres. Contrairement aux autres, les défaites des Sao à chaque rencontre sont une question de mauvaise organisation. Selon Guede Moïse, ancien gardien de Gazelle FC "B'', « le football aujourd'hui est une école, et il faut investir pour s'attendre à un meilleur résultat. Il faut préparer l'équipe nationale bien avant les compétions, en fixant des objectifs.
C'est ce qui peut expliquer la défaite des Sao à chaque occasion. Car ce n’est pas à la veille qu'il faut mobilier les joueurs », souligne-t-il. Cet avis est partagé par Mounine Chaïbo, supporteur de RFC : « nous avons de bons joueurs, mais il manque une politique pour le sport au Tchad. Il y a aussi le manque de volonté des joueurs.
Nous y arriverons un jour, sauf que beaucoup de travail reste à faire. Même si le président du Comité Militaire de Transition, Mahamat Idriss Déby parle d'année de sport », dit-il.
À tort ou à raison, l'équipe nationale du Tchad est en manque de tout et de rien. Comment peut-on nourrir un coq à la veille du marché pour avoir un bon prix ? De ce fait, les défaites à répétition de l'équipe nationale tchadienne peuvent s'expliquer par une mauvaise organisation.
Et même si c'est une malédiction, c'est possible d'y arriver par le travail. Cependant, beaucoup reste à faire pour que l'équipe nationale de football du Tchad puisse participer effectivement dans les compétitions des nations sportives.