Des ex-salariés du projet pétrolier Tchad-Cameroun Constructors (Subsahara TCC) d'Esso, ont exprimé leur colère mercredi dernier, devant le ministère de la Justice à N'Djamena, pour « se faire entendre » et « faire appliquer la décision de justice en leur faveur ».
Le secrétaire général de l'Association qui défend les intérêts des ex-travailleurs, Laokunda Mbaitubam, dénonce l'injustice sociale qui s’abat sur leur sort. Il explique que des démarches judiciaires ont été entamées en vain. « Nos revendications, qui sont passées depuis 18 ans au Palais de justice, ne sont pas respectés par le consortium Esso-Tchad. Même les condamnations que la justice a rendues ne sont pas respectées, alors que c'est une affaire sociale », regrette Laokunda Mbaitubam.
Depuis 2013, 4013 ex-employés de TCC Esso revendiquaient leurs droits. « Nous avons déjà perdu 2000 de nos collègues, laissant des veuves et des orphelins, sans scolarité, ni moyens de subsistance », déplore Laokunda Mbaitubam.
Le secrétaire général de l'Association qui défend les intérêts des ex-travailleurs, Laokunda Mbaitubam, dénonce l'injustice sociale qui s’abat sur leur sort. Il explique que des démarches judiciaires ont été entamées en vain. « Nos revendications, qui sont passées depuis 18 ans au Palais de justice, ne sont pas respectés par le consortium Esso-Tchad. Même les condamnations que la justice a rendues ne sont pas respectées, alors que c'est une affaire sociale », regrette Laokunda Mbaitubam.
Depuis 2013, 4013 ex-employés de TCC Esso revendiquaient leurs droits. « Nous avons déjà perdu 2000 de nos collègues, laissant des veuves et des orphelins, sans scolarité, ni moyens de subsistance », déplore Laokunda Mbaitubam.