De la délégation provinciale de la Santé publique et de la Prévention du Kanem , à la pharmacie provinciale d'approvisionnement, le centre de santé Mao moto, le centre de santé Mao mosquée, en passant par l'hôpital provincial de Moussoro, puis le district sanitaire de Moussoro précisément le centre de santé publique de Tchiworou, une localité située à 15 km du sud-est de la ville de Moussoro, les responsables nutritionnistes, à tour de rôle, ont conduit l'équipe de l'UNICEF accompagnée des points focaux dans différents services, pour toucher du doigt les réalités que vivent ces centres hospitaliers.
Pour l'urgence, au Kanem et au Bahr El Ghazal, la visite média a été rendue possible grâce au généreux octroi des produits pour sauver les bébés afin de garantir leur survie, leur protection et surtout, s'assurer des opérations d'aides humanitaires de l'UNICEF qui soutient et intervient face aux malnutris dans ces zones.
Des centres ciblés au Kanem dont la visite a été conduite par les chefs de services dans diverses salles d'hospitalisation à savoir, la salle d'urgence, la phase aiguë, la phase II, la pédiatrie et autres niveaux d'urgence de la malnutrition aiguë globale (MAG) demeurent entiers au Kanem, en raison de l'insécurité alimentaire et des maladies qui y sévissent.
En outre, les journalistes, points focaux représentant les médias nationaux, s'étaient entretenus avec les mères d'enfants malnutris, et ont eu des entretiens avec des informateurs clés dans ces différents centres hospitaliers du Programme thérapeutique ambulatoire (PTA), pour pouvoir recueillir plus d'informations sur les facteurs entretenant la malnutrition infantile.
Les réponses prouvent que les mamans ont tendance à vouloir maintenir leurs bébés dans des plannings afin de continuer à bénéficier des produits nutritionnels, et être admises dans des programmes de distribution alimentaire générale. Le partage et la vente des produits nutritionnels au sein des ménages, sur le marché, sont courants au lieu de sauver la vie des bébés. Les enfants deviennent dépendants du PLUMPY'NUT. Ce qui conduit à leur réadmission.
De même, il arrive que des mères quittent le programme thérapeutique ambulatoire à cause des pressions au sein du foyer, ou de la garde d'enfants. Les mères se soucient de l'efficacité du mélange maïs-soja ou CSB (Corn-soy blend), et du manque de médicaments disponibles, même quand ils sont prescrits.
Les réponses montrent de plus encore que le besoin d'abandonner le don de nourriture et de produits nutritionnels, pour favoriser plutôt une sécurité alimentaire et agricole à long terme, et des interventions sur les moyens de substances pour empêcher la malnutrition. Il faut revoir le recours à la distribution alimentaire générale et aux autres programmes, pour éviter de promouvoir le programme de malnutrition.
Il faut également augmenter les interventions nutritionnelles au niveau de la communauté et les visites à domicile sinon, il faut une bonne collaboration avec les partenaires comme UNICEF, pour éviter que les mères ne fréquentent pas plusieurs centres.
Pour l'urgence, au Kanem et au Bahr El Ghazal, la visite média a été rendue possible grâce au généreux octroi des produits pour sauver les bébés afin de garantir leur survie, leur protection et surtout, s'assurer des opérations d'aides humanitaires de l'UNICEF qui soutient et intervient face aux malnutris dans ces zones.
Des centres ciblés au Kanem dont la visite a été conduite par les chefs de services dans diverses salles d'hospitalisation à savoir, la salle d'urgence, la phase aiguë, la phase II, la pédiatrie et autres niveaux d'urgence de la malnutrition aiguë globale (MAG) demeurent entiers au Kanem, en raison de l'insécurité alimentaire et des maladies qui y sévissent.
En outre, les journalistes, points focaux représentant les médias nationaux, s'étaient entretenus avec les mères d'enfants malnutris, et ont eu des entretiens avec des informateurs clés dans ces différents centres hospitaliers du Programme thérapeutique ambulatoire (PTA), pour pouvoir recueillir plus d'informations sur les facteurs entretenant la malnutrition infantile.
Les réponses prouvent que les mamans ont tendance à vouloir maintenir leurs bébés dans des plannings afin de continuer à bénéficier des produits nutritionnels, et être admises dans des programmes de distribution alimentaire générale. Le partage et la vente des produits nutritionnels au sein des ménages, sur le marché, sont courants au lieu de sauver la vie des bébés. Les enfants deviennent dépendants du PLUMPY'NUT. Ce qui conduit à leur réadmission.
De même, il arrive que des mères quittent le programme thérapeutique ambulatoire à cause des pressions au sein du foyer, ou de la garde d'enfants. Les mères se soucient de l'efficacité du mélange maïs-soja ou CSB (Corn-soy blend), et du manque de médicaments disponibles, même quand ils sont prescrits.
Les réponses montrent de plus encore que le besoin d'abandonner le don de nourriture et de produits nutritionnels, pour favoriser plutôt une sécurité alimentaire et agricole à long terme, et des interventions sur les moyens de substances pour empêcher la malnutrition. Il faut revoir le recours à la distribution alimentaire générale et aux autres programmes, pour éviter de promouvoir le programme de malnutrition.
Il faut également augmenter les interventions nutritionnelles au niveau de la communauté et les visites à domicile sinon, il faut une bonne collaboration avec les partenaires comme UNICEF, pour éviter que les mères ne fréquentent pas plusieurs centres.