En mission d’inspection et d’évaluation du dispositif sécuritaire à Doba, chef-lieu de la province du Logone Oriental, le chef d’état-major de l’armée de terre, le général de corps d’Armée Djontan Marcel Hoinati, a présidé ce matin une réunion de sécurité à l’état-major de la légion de la gendarmerie nationale numéro 15 de Doba.
Au menu de la rencontre : la sécurité des Tchadiens et la défense de la patrie. Face aux différents corps constitués des Forces de Défense et de Sécurité (gendarmerie, GNNT, police nationale, garde forestière et services spéciaux), le CEMAT a tout d’abord situé le contexte de la mission qui lui a été confiée par les plus hautes autorités du pays.
Il s’agit d’assurer la sécurité des populations et de leurs biens ainsi que de défendre l’intégrité du territoire, des priorités inscrites dans le programme d’action du chef de l’État. Pour concrétiser cette volonté, le CEMAT a rappelé la mission régalienne qui incombe à chaque corps.
Il a invité chacun à prendre ses responsabilités face aux défis sécuritaires. Dans son intervention, il a exhorté les forces engagées à redoubler de vigilance afin de contrecarrer toute menace à la stabilité du pays, notamment les coupeurs de route, les vols à main armée, les enlèvements contre rançon et le grand banditisme transfrontalier. Il a insisté sur la nécessité d’une surveillance stricte de la frontière avec la République centrafricaine.
Le CEMAT a ensuite fustigé le comportement de certains éléments des FDS complices des malfrats et des conflits entre éleveurs et agriculteurs. Il a mis en garde ceux qui extorquent les biens des citoyens en leur infligeant des amendes abusives. Désormais, la mafia, la recherche d’intérêts personnels, l’indiscipline, le communautarisme et la mauvaise gestion des ressources doivent être bannis au sein des Forces de Défense et de Sécurité.
Il a ensuite exhorté les FDS à collaborer étroitement avec les autorités administratives, traditionnelles et religieuses pour garantir la sécurité. Enfin, il a rappelé le respect des deux décrets régissant l’incompatibilité entre l’exercice des fonctions des Forces de Défense et de Sécurité et celles des chefferies traditionnelles, ainsi que l’interdiction formelle faite aux FDS de publier sur les réseaux sociaux des messages pouvant porter atteinte à la cohésion sociale.
Au menu de la rencontre : la sécurité des Tchadiens et la défense de la patrie. Face aux différents corps constitués des Forces de Défense et de Sécurité (gendarmerie, GNNT, police nationale, garde forestière et services spéciaux), le CEMAT a tout d’abord situé le contexte de la mission qui lui a été confiée par les plus hautes autorités du pays.
Il s’agit d’assurer la sécurité des populations et de leurs biens ainsi que de défendre l’intégrité du territoire, des priorités inscrites dans le programme d’action du chef de l’État. Pour concrétiser cette volonté, le CEMAT a rappelé la mission régalienne qui incombe à chaque corps.
Il a invité chacun à prendre ses responsabilités face aux défis sécuritaires. Dans son intervention, il a exhorté les forces engagées à redoubler de vigilance afin de contrecarrer toute menace à la stabilité du pays, notamment les coupeurs de route, les vols à main armée, les enlèvements contre rançon et le grand banditisme transfrontalier. Il a insisté sur la nécessité d’une surveillance stricte de la frontière avec la République centrafricaine.
Le CEMAT a ensuite fustigé le comportement de certains éléments des FDS complices des malfrats et des conflits entre éleveurs et agriculteurs. Il a mis en garde ceux qui extorquent les biens des citoyens en leur infligeant des amendes abusives. Désormais, la mafia, la recherche d’intérêts personnels, l’indiscipline, le communautarisme et la mauvaise gestion des ressources doivent être bannis au sein des Forces de Défense et de Sécurité.
Il a ensuite exhorté les FDS à collaborer étroitement avec les autorités administratives, traditionnelles et religieuses pour garantir la sécurité. Enfin, il a rappelé le respect des deux décrets régissant l’incompatibilité entre l’exercice des fonctions des Forces de Défense et de Sécurité et celles des chefferies traditionnelles, ainsi que l’interdiction formelle faite aux FDS de publier sur les réseaux sociaux des messages pouvant porter atteinte à la cohésion sociale.