Tchad : délivrance de la carte de journaliste professionnel, la HAMA clôture la session. © Mahamat Abdramane Ali Kitire/Alwihda Info
N'Djamena - La Haute Autorité des Médias et de l'Audiovisuel (HAMA) a organisé vendredi une cérémonie marquant la clôture de la session extraordinaire de la Commission nationale de la carte d'identité du journaliste professionnel (CNCIJP).
Le président de la Commission, Abderhamane Barka, affirme qu'à l'issue de presque 10 jours de travaux, plusieurs dossiers ont été validés tandis que des cartes d'identité ont été mises à la disposition des intéressés. Au total, 65 dossiers ont été reçus par la commission, tandis que 57 cartes ont été délivrées.
"À travers cette carte de journaliste professionnel, l'intéressé reçoit automatiquement un numéro matricule d'identification qui lui permettra de vaquer normalement à ses activités. Nos démarches sont beaucoup plus pédagogiques, c'est pourquoi nous vous demandons de vous rapprocher pour avoir plus d'informations", explique le président de la Commission.
Dans son mot de clôture, le président de la HAMA, Dieudonné Djonabaye, se félicite du travail abattu par la Commission. "
Durant les dix jours d'intenses travaux qui nous sont parvenus, les débats ont été constructifs et productifs. Vous avez en même temps fait preuve de pédagogie.. Cette commission a pu valider 57 cartes professionnelles journalistiques remplissant tous les critères institués par la loi n°31/PR/2018 du 03 décembre 2018 portant régime de la presse écrite et des médias électroniques", souligne Dieudonné Djonabaye.
Le président de la Haute autorité note que l'exploitation des réseaux sociaux par les journalistes habitués constitue d'un côté une source d'information, et de l'autre côté, l'usage qui en est fait par les citoyens inquiète. "Car l'usage en est contre productif pour notre pays", déplore Dieudonné Djonabaye.
Dieudonné Djonabaye demande aux professionnels de la communication d'être de véritables apôtres de l'unité. "Vous devez être le ferment de fraternité, de la liberté, de la justice et de la paix", préconise-t-il.
La Commission dispose de deux sessions ordinaires pour statuer : l'une en juin et l'autre en décembre, mais aussi des sessions extraordinaires en cas de nécessité. Le dépôt des dossiers reste donc toujours ouvert pour les journalistes intéressés.
Le président de la Commission, Abderhamane Barka, affirme qu'à l'issue de presque 10 jours de travaux, plusieurs dossiers ont été validés tandis que des cartes d'identité ont été mises à la disposition des intéressés. Au total, 65 dossiers ont été reçus par la commission, tandis que 57 cartes ont été délivrées.
"À travers cette carte de journaliste professionnel, l'intéressé reçoit automatiquement un numéro matricule d'identification qui lui permettra de vaquer normalement à ses activités. Nos démarches sont beaucoup plus pédagogiques, c'est pourquoi nous vous demandons de vous rapprocher pour avoir plus d'informations", explique le président de la Commission.
Dans son mot de clôture, le président de la HAMA, Dieudonné Djonabaye, se félicite du travail abattu par la Commission. "
Durant les dix jours d'intenses travaux qui nous sont parvenus, les débats ont été constructifs et productifs. Vous avez en même temps fait preuve de pédagogie.. Cette commission a pu valider 57 cartes professionnelles journalistiques remplissant tous les critères institués par la loi n°31/PR/2018 du 03 décembre 2018 portant régime de la presse écrite et des médias électroniques", souligne Dieudonné Djonabaye.
Le président de la Haute autorité note que l'exploitation des réseaux sociaux par les journalistes habitués constitue d'un côté une source d'information, et de l'autre côté, l'usage qui en est fait par les citoyens inquiète. "Car l'usage en est contre productif pour notre pays", déplore Dieudonné Djonabaye.
Dieudonné Djonabaye demande aux professionnels de la communication d'être de véritables apôtres de l'unité. "Vous devez être le ferment de fraternité, de la liberté, de la justice et de la paix", préconise-t-il.
La Commission dispose de deux sessions ordinaires pour statuer : l'une en juin et l'autre en décembre, mais aussi des sessions extraordinaires en cas de nécessité. Le dépôt des dossiers reste donc toujours ouvert pour les journalistes intéressés.