Le gouverneur de la province du Ouaddaï, Brahim Seid Mahamat, s'est exprimé lundi à la presse lors de sa visite à l'hôpital provincial d'Abéché et dans des centres de santé.
"Le mobile de notre déplacement c'est de s'enquérir de la situation de cette maladie (de chikungunya, Ndlr) qui vient de frapper la ville d'Abéché et de nous enquérir aussi dans quelles conditions le personnel travaille, et s'il y a des médicaments nécessaires. Ça c'est un premier constat qu'on a fait", a expliqué le gouverneur.
"Le mobile de notre déplacement c'est de s'enquérir de la situation de cette maladie (de chikungunya, Ndlr) qui vient de frapper la ville d'Abéché et de nous enquérir aussi dans quelles conditions le personnel travaille, et s'il y a des médicaments nécessaires. Ça c'est un premier constat qu'on a fait", a expliqué le gouverneur.
"C'est vrai, depuis le 14 (août, Ndlr), il y a eu plus de 3000 cas actuellement. Dans certains quartiers ça augmente, dans d'autres il y a un recul", a précisé le général Brahim Seid Mahamat.
"On n'a pas encore atteint le pic comme certains le disent. On remercie le personnel de nos hôpitaux, de nos différents centres de santé qui se sont mobilisés pour vraiment apporter leur contribution pour en finir avec cette maladie", a-t-il dit.
"On n'a pas encore atteint le pic comme certains le disent. On remercie le personnel de nos hôpitaux, de nos différents centres de santé qui se sont mobilisés pour vraiment apporter leur contribution pour en finir avec cette maladie", a-t-il dit.