Au moment où le peuple fait face à la cherté de vie, la pénurie de gaz et aux inondations, les mêmes têtes se réunissent pour discuter d'un Tchad meilleur. Pourtant, c'est eux-mêmes qui sont à l'origine de cette vie de misère que vivent les populations.
Sur les visages de beaucoup de Tchadiens, se lit le sentiment de regret d'avoir cette nationalité. Certains proposent de vendre le Tchad et de distribuer à chacun ce qui lui revient afin d'aller vivre ailleurs. Les femmes, hommes et enfants ne savent plus à quel saint se vouer, pour leur repas quotidien.
Car aujourd'hui, le simple repas est devenu un luxe pour beaucoup des ménages. Et le repas bourratif fait place au repas de qualité. Au marché, l'on peut apercevoir des bons aliments. Malheureusement, on ne peut demander le prix, déplore Nicole, mère de 3 enfants. La situation devient insupportable, un nouveau mode de vie s'impose, car il est difficile de remplir l'estomac. Sans évoquer l'endurance pour la recherche du gaz domestique.
Le pire, certains ménages se nourrissent grâce à la solidarité du voisinage. Mais quelle souffrance ? Aucune raison ne peut justifier la hausse des prix des denrées alimentaires sur le marché. Même si certains justifient cela par le conflit en Ukraine, c'est du pur mensonge. Il faut reconnaître que l'État ne contrôle rien sur le marché.
Et face à une population qui ignore ses droits, cela n'arrange pas les choses. L'exemple simple est que le gaz, dont le coût est plafonné à 2000 FCFA, est vendu à 2500 FCFA. Et voilà aujourd'hui, c'est les mêmes voleurs qui se réunissent au même lieu, même accoutrement, voire même idéologie conservatrice du pouvoir, pour discuter du sort de ce peuple qui vit dans la misère depuis plus de 32 ans.
Malgré diverses ressources, quelle honte face à cette situation ! Tout est clair déjà à l'ouverture de cette réunion familiale, certains s'en foutent en sommeillant. À l'entame des assises, des leaders religieux sont venus pour prier ; mais ce qui intéresse les vieux loups de la politique, c'est le partage du pouvoir.
Sur les visages de beaucoup de Tchadiens, se lit le sentiment de regret d'avoir cette nationalité. Certains proposent de vendre le Tchad et de distribuer à chacun ce qui lui revient afin d'aller vivre ailleurs. Les femmes, hommes et enfants ne savent plus à quel saint se vouer, pour leur repas quotidien.
Car aujourd'hui, le simple repas est devenu un luxe pour beaucoup des ménages. Et le repas bourratif fait place au repas de qualité. Au marché, l'on peut apercevoir des bons aliments. Malheureusement, on ne peut demander le prix, déplore Nicole, mère de 3 enfants. La situation devient insupportable, un nouveau mode de vie s'impose, car il est difficile de remplir l'estomac. Sans évoquer l'endurance pour la recherche du gaz domestique.
Le pire, certains ménages se nourrissent grâce à la solidarité du voisinage. Mais quelle souffrance ? Aucune raison ne peut justifier la hausse des prix des denrées alimentaires sur le marché. Même si certains justifient cela par le conflit en Ukraine, c'est du pur mensonge. Il faut reconnaître que l'État ne contrôle rien sur le marché.
Et face à une population qui ignore ses droits, cela n'arrange pas les choses. L'exemple simple est que le gaz, dont le coût est plafonné à 2000 FCFA, est vendu à 2500 FCFA. Et voilà aujourd'hui, c'est les mêmes voleurs qui se réunissent au même lieu, même accoutrement, voire même idéologie conservatrice du pouvoir, pour discuter du sort de ce peuple qui vit dans la misère depuis plus de 32 ans.
Malgré diverses ressources, quelle honte face à cette situation ! Tout est clair déjà à l'ouverture de cette réunion familiale, certains s'en foutent en sommeillant. À l'entame des assises, des leaders religieux sont venus pour prier ; mais ce qui intéresse les vieux loups de la politique, c'est le partage du pouvoir.