Le ministre de la Justice, chargé des droits humains, Mahamat Ahmad Alhabo, a pris part ce mercredi à la maison d'arrêt de Klessoum, à une cérémonie de libération de 46 détenus ayant bénéficié des remises collectives de peine.
Le président du Conseil militaire de transition (CMT), le général Mahamat Idriss Deby, a signé le 30 juin un décret accordant des remises collectives de peines aux condamnés de droit commun.
Remettant le certificat de mise en liberté à un détenu, le ministre lui a demandé de ne plus revenir et d'être exemplaire dans la société. L'administration pénitentiaire exhorte les ex-détenus à "ne plus poser des actes négatifs" et à être "utiles pour la société".
Les condamnations aux travaux forcés à perpétuité sont commués à des peines de 20 ans.
Les remises de peines ne préjudicient pas aux droits de l'État, des parties civiles et des tiers, a précisé le ministre de la Justice.
Les condamnés ne peuvent bénéficier que d'une seule remise de peines pour leur condamnation en cours.
Le président du Conseil militaire de transition (CMT), le général Mahamat Idriss Deby, a signé le 30 juin un décret accordant des remises collectives de peines aux condamnés de droit commun.
Remettant le certificat de mise en liberté à un détenu, le ministre lui a demandé de ne plus revenir et d'être exemplaire dans la société. L'administration pénitentiaire exhorte les ex-détenus à "ne plus poser des actes négatifs" et à être "utiles pour la société".
Les condamnations aux travaux forcés à perpétuité sont commués à des peines de 20 ans.
Les remises de peines ne préjudicient pas aux droits de l'État, des parties civiles et des tiers, a précisé le ministre de la Justice.
Les condamnés ne peuvent bénéficier que d'une seule remise de peines pour leur condamnation en cours.