L’inspecteur général du ministère de la Santé publique, Dr. Abdramane Mbodou Choukou, a dénoncé ce jeudi les pratiques de certains étrangers qui se font passer pour des tradipraticiens dans la province du Lac et escroquent les paisibles citoyens.
« Ces individus de moralité douteuse mettent en péril la vie de la population et le système de santé. Ils sont des charlatans », a affirmé Dr Abdraman Mbodou Choukou.
"De passage le 10 mars 2019 à Ngouri, nous avons rendu une visite de courtoisie au préfet du département, dans la province du Lac. Le préfet soucieux de la santé de sa population nous a informé de la présence d'un groupe de tradipraticiens de nationalité camerounaise inscrits à la Fédération nationale des associations de la médecine traditionnelle du Tchad. Munis d'un ordre de mission et d'une autorisation de séjour, ils exercent dans la localité. Nous avons effectué une descente sur les lieux où ils exercent", a expliqué l’inspecteur général du ministère de la Santé publique.
Le groupe de tradipraticiens utilisait du matériel de médecine moderne, des produits pharmaceutiques dont certains sont périmés, un ordinateur portable, un tensiomètre, un thermomètre, une clé USB et un analyseur à résonance magnétique. Leurs tarifs, jugés exorbitants, allaient de 20.000 à 42.000 Francs CFA, voire même 200.000 Francs CFA.
"Nous avons procédé à la saisie de tout le matériel et les produits pharmaceutiques dont l'utilisation est formellement interdite aux tradipraticiens, à moins qu'ils soient diplômés en médecine moderne", a précisé Dr. Abdramane Mbodou Choukou.
« Ces individus de moralité douteuse mettent en péril la vie de la population et le système de santé. Ils sont des charlatans », a affirmé Dr Abdraman Mbodou Choukou.
"De passage le 10 mars 2019 à Ngouri, nous avons rendu une visite de courtoisie au préfet du département, dans la province du Lac. Le préfet soucieux de la santé de sa population nous a informé de la présence d'un groupe de tradipraticiens de nationalité camerounaise inscrits à la Fédération nationale des associations de la médecine traditionnelle du Tchad. Munis d'un ordre de mission et d'une autorisation de séjour, ils exercent dans la localité. Nous avons effectué une descente sur les lieux où ils exercent", a expliqué l’inspecteur général du ministère de la Santé publique.
Le groupe de tradipraticiens utilisait du matériel de médecine moderne, des produits pharmaceutiques dont certains sont périmés, un ordinateur portable, un tensiomètre, un thermomètre, une clé USB et un analyseur à résonance magnétique. Leurs tarifs, jugés exorbitants, allaient de 20.000 à 42.000 Francs CFA, voire même 200.000 Francs CFA.
"Nous avons procédé à la saisie de tout le matériel et les produits pharmaceutiques dont l'utilisation est formellement interdite aux tradipraticiens, à moins qu'ils soient diplômés en médecine moderne", a précisé Dr. Abdramane Mbodou Choukou.