Des innocents croupissent en prison. Il suffit de faire un tour au Commissariat d'arrondissement numéro 4, dans le quartier Sénégalais pour s’en convaincre.
Lors des opérations de la commission mixte de force de sécurité pour traquer les brigands dans leur zone ciblée, l'on n’a pas seulement arrêté les brigands, mais aussi des innocents. Depuis samedi dernier, certains jeunes sont en prison sans une preuve, leur tort est d'emprunter le chemin de la zone ciblée par les forces de sécurité.
La commission fait usage d'une arrestation forcée, et tout jeune qui passe devant leur véhicule en courant devient leur cible. Ces explications ont été fournies par quelques témoins de la zone ciblée du quartier Ridina, dans le 5ème arrondissement. Certains jeunes sont arrêtés dans leur lieu de distraction, le terrain du football du lycée Félix Eboué.
Comment peut-on comprendre qu'un policier ou militaire bien formé, ne sait pas faire la différence entre un brigand et un innocent ? Comme l'on ne connait pas son jour de malheur, ces jeunes innocents ont emprunté un mauvais chemin qui les a conduits derrière les barreaux.
Selon le chef de poste du CA4, seul le directeur de la Police Nationale, général Moussa Haroun Tirgo a le pouvoir de libérer ces jeunes. En attendant la décision de celui qui détient la clé des verrous, ces derniers doivent supporter chaleur, odeur nauséabondes et la famine. Certains pensent donc que le général doit faire le tour des prisons, pour accorder liberté à des innocents.
Lors des opérations de la commission mixte de force de sécurité pour traquer les brigands dans leur zone ciblée, l'on n’a pas seulement arrêté les brigands, mais aussi des innocents. Depuis samedi dernier, certains jeunes sont en prison sans une preuve, leur tort est d'emprunter le chemin de la zone ciblée par les forces de sécurité.
La commission fait usage d'une arrestation forcée, et tout jeune qui passe devant leur véhicule en courant devient leur cible. Ces explications ont été fournies par quelques témoins de la zone ciblée du quartier Ridina, dans le 5ème arrondissement. Certains jeunes sont arrêtés dans leur lieu de distraction, le terrain du football du lycée Félix Eboué.
Comment peut-on comprendre qu'un policier ou militaire bien formé, ne sait pas faire la différence entre un brigand et un innocent ? Comme l'on ne connait pas son jour de malheur, ces jeunes innocents ont emprunté un mauvais chemin qui les a conduits derrière les barreaux.
Selon le chef de poste du CA4, seul le directeur de la Police Nationale, général Moussa Haroun Tirgo a le pouvoir de libérer ces jeunes. En attendant la décision de celui qui détient la clé des verrous, ces derniers doivent supporter chaleur, odeur nauséabondes et la famine. Certains pensent donc que le général doit faire le tour des prisons, pour accorder liberté à des innocents.