Le ministre délégué à la Présidence chargé de la defense nationale, des anciens combattants et victimes de guerre, le général Daoud Yaya Brahim, a réagi ce 20 décembre à la revalorisation des indemnités et primes des militaires, consacrant des hausses historiques de rémunérations. Le ministre a estimé que “l’armée est aujourd’hui sur le chemin de la professionnalisation”.
Le décret prend effet à compter de janvier 2022. Depuis la création de l’armée tchadienne en 1962, « elle n’a guère été récompensée à la hauteur de nombreuses missions de sacrifices consenties aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur », a indiqué le général Daoud Yaya Brahim.
Le Conseil militaire de transition (CMT) a entrepris une vaste réforme de l’armée qui a été approuvée par l’ex-Assemblée nationale. Cette réforme historique vise à améliorer les conditions de vie des soldats tchadiens qui sont parmi les moins biens rémunérés du continent. A titre d’exemple, des militaires percevaient des rémunérations de 15 à 20.000 Fcfa, il y a quelques années, a rappelé le chef d’état-major général des armées, le général Abakar Abdelkerim Daoud.
Pour le ministre en charge de la défense, le soldat mérite un traitement à la hauteur de ses accomplissements. Avec une indemnité minimale qui devrait être revalorisée d’au moins 36%, la situation sociale des militaires devrait « s’améliorer de façon substantielle ».
Le décret prend effet à compter de janvier 2022. Depuis la création de l’armée tchadienne en 1962, « elle n’a guère été récompensée à la hauteur de nombreuses missions de sacrifices consenties aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur », a indiqué le général Daoud Yaya Brahim.
Le Conseil militaire de transition (CMT) a entrepris une vaste réforme de l’armée qui a été approuvée par l’ex-Assemblée nationale. Cette réforme historique vise à améliorer les conditions de vie des soldats tchadiens qui sont parmi les moins biens rémunérés du continent. A titre d’exemple, des militaires percevaient des rémunérations de 15 à 20.000 Fcfa, il y a quelques années, a rappelé le chef d’état-major général des armées, le général Abakar Abdelkerim Daoud.
Pour le ministre en charge de la défense, le soldat mérite un traitement à la hauteur de ses accomplissements. Avec une indemnité minimale qui devrait être revalorisée d’au moins 36%, la situation sociale des militaires devrait « s’améliorer de façon substantielle ».