Tchad : 3 hommes kidnappés au Mayo Kebbi Ouest, les ravisseurs ont laissé un numéro. © Foka Mapagne/Alwihda Info
Les ravisseurs de trois otages, enlevés cette semaine dans la province du Mayo Kebbi Ouest, réclament la somme de 28 millions de Francs CFA pour leur libération. Au cas contraire, les victimes seront tuées.
Les otages ont été kidnappés dans la nuit de lundi à mardi 7 juillet dans le village Boloro, dans le département de Lac-Léré, par des individus non identifiés.
Les otages sont respectivement Idriss Amadou, marié, âgé de 39 ans et père de 8 enfants, Alim Hawa, âgé de 38 ans, marié à deux femmes et père de 8 enfants et enfin Moussa Ousmane âgé de 45 ans, père de 17 enfants et marié à deux femmes.
Selon des sources sécuritaires, les ravisseurs ont traversé la frontière camerounaise avec les otages.
Après le rapt, ces hors-la-loi ont laissé un contact du réseau téléphonique du Cameroun Nextel afin que les parents des victimes les contactent.
D'après les informations recueillies auprès des parents des otages, rapportées par les agents de sécurités qui se sont rendus sur le terrain, l'opération a été menée par quatre malfrats dont trois munis d'armes à feu.
Dans la poursuite des traces des malfrats et des otages, les agents de sécurité ont bénéficié de l'appui des éléments des comités de vigilance du village qui est le théâtre de ce commerce de la honte.
Les otages ont été kidnappés dans la nuit de lundi à mardi 7 juillet dans le village Boloro, dans le département de Lac-Léré, par des individus non identifiés.
Les otages sont respectivement Idriss Amadou, marié, âgé de 39 ans et père de 8 enfants, Alim Hawa, âgé de 38 ans, marié à deux femmes et père de 8 enfants et enfin Moussa Ousmane âgé de 45 ans, père de 17 enfants et marié à deux femmes.
Selon des sources sécuritaires, les ravisseurs ont traversé la frontière camerounaise avec les otages.
Après le rapt, ces hors-la-loi ont laissé un contact du réseau téléphonique du Cameroun Nextel afin que les parents des victimes les contactent.
D'après les informations recueillies auprès des parents des otages, rapportées par les agents de sécurités qui se sont rendus sur le terrain, l'opération a été menée par quatre malfrats dont trois munis d'armes à feu.
Dans la poursuite des traces des malfrats et des otages, les agents de sécurité ont bénéficié de l'appui des éléments des comités de vigilance du village qui est le théâtre de ce commerce de la honte.