Un bus de transport au Tchad. Illustration © Kelvin Djetoyo/Alwihda Info
Le confinement de la ville de N'Djamena depuis le 1er janvier 2021 a des répercussions sur l'ensemble du pays. Les prix des transports interurbains ne font qu'augmenter en province, une situation qui inquiète les voyageurs.
Le trajet Moundou-Bongor qui coutait auparavant 5000 Fcfa est passé à 15.000 Fcfa, soit une hausse de 150%. Du côté des transporteurs, aucune raison valable n'est avancée.
Pour se rendre de Moundou à Koundoul, le coût est de 45.000 Fcfa. Les plus pressés rallient la capitale N'Djamena depuis Koundoul par des voies dérobées, en payant 2500 Fcfa. Cette pratique est toutefois interdite par les autorités.
Les voyageurs déplorent cette spéculation sur le prix de transport. Si les agences de voyages ont garé leurs bus, ce sont les détenteurs des véhicules particuliers et ceux des petites voitures de transport en commun qui se frottent les mains.
Un allègement du confinement de N'Djamena
Le gouvernement a décidé mercredi de prolonger le confinement de N'Djamena pour deux semaines. Les frontières terrestres de la ville demeurent fermées sauf en cas de missions dûment autorisées. À l'intérieur de la capitale, les transports en commun urbains sont désormais autorisés.
Le trajet Moundou-Bongor qui coutait auparavant 5000 Fcfa est passé à 15.000 Fcfa, soit une hausse de 150%. Du côté des transporteurs, aucune raison valable n'est avancée.
Pour se rendre de Moundou à Koundoul, le coût est de 45.000 Fcfa. Les plus pressés rallient la capitale N'Djamena depuis Koundoul par des voies dérobées, en payant 2500 Fcfa. Cette pratique est toutefois interdite par les autorités.
Les voyageurs déplorent cette spéculation sur le prix de transport. Si les agences de voyages ont garé leurs bus, ce sont les détenteurs des véhicules particuliers et ceux des petites voitures de transport en commun qui se frottent les mains.
Un allègement du confinement de N'Djamena
Le gouvernement a décidé mercredi de prolonger le confinement de N'Djamena pour deux semaines. Les frontières terrestres de la ville demeurent fermées sauf en cas de missions dûment autorisées. À l'intérieur de la capitale, les transports en commun urbains sont désormais autorisés.