Informer et sensibiliser la population de la ville de N'djamena et ses environs, à redoubler de vigilance en cette période de forte pluviométrie, pour un environnement sain. Tel est l’objectif de la conférence de presse organisée par le président de l'Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l'Environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjedé. C’était le 13 juillet 2021, au Centre Culturel Almouna.
D’entrée, Abba Daoud Nandjedé a déclaré que N'djamena à l'instar des agglomérations africaines est une mégapole confrontée, à une dynamique démographique urbaine sans cesse croissante. « De cette situation de concentration humaine, s'en suit deux phénomènes très dommageables, pour la santé environnementale et humaine. Il s'agit de l'augmentation du nombre des engins, avec une augmentation du taux de production du carbone. Il était constaté qu'à chaque saison de pluie suivie de chaleur, les décharges recevant les déchets de toutes sortes, subissent une dilution en forme de substance liquide toxique et susceptible de contaminer la nappe phréatique, par infiltration. Et provoquer plusieurs maladies », a-t-il indiqué.
Le président de l’ADHET a en outre relevé que malgré l'existence de la commune de la ville de N'djamena et de ses dix arrondissements communaux, il n'existe pas d’installations techniques adéquates, pour le traitement des déchets. « Il n'existe aucun système de valorisation des déchets organiques. Sinon ceux qui existent comportent des failles avec des risques de contamination ».
Pour finir, Abba Daoud Nandjedé a annoncé que l'ADHET envisage lancer en partenariat avec l'UICN et les communes de la ville de N'djamena, le projet : N'djamena gestion familiale et communautaire de l'environnement, avec la formation de 5000 pairs éducateurs environnementaux. Il s’agit de faire de N'djamena un nouveau cadre de vie agréable et sain, puis une ville la plus moins polluante, a-t-il signifié.
D’entrée, Abba Daoud Nandjedé a déclaré que N'djamena à l'instar des agglomérations africaines est une mégapole confrontée, à une dynamique démographique urbaine sans cesse croissante. « De cette situation de concentration humaine, s'en suit deux phénomènes très dommageables, pour la santé environnementale et humaine. Il s'agit de l'augmentation du nombre des engins, avec une augmentation du taux de production du carbone. Il était constaté qu'à chaque saison de pluie suivie de chaleur, les décharges recevant les déchets de toutes sortes, subissent une dilution en forme de substance liquide toxique et susceptible de contaminer la nappe phréatique, par infiltration. Et provoquer plusieurs maladies », a-t-il indiqué.
Le président de l’ADHET a en outre relevé que malgré l'existence de la commune de la ville de N'djamena et de ses dix arrondissements communaux, il n'existe pas d’installations techniques adéquates, pour le traitement des déchets. « Il n'existe aucun système de valorisation des déchets organiques. Sinon ceux qui existent comportent des failles avec des risques de contamination ».
Pour finir, Abba Daoud Nandjedé a annoncé que l'ADHET envisage lancer en partenariat avec l'UICN et les communes de la ville de N'djamena, le projet : N'djamena gestion familiale et communautaire de l'environnement, avec la formation de 5000 pairs éducateurs environnementaux. Il s’agit de faire de N'djamena un nouveau cadre de vie agréable et sain, puis une ville la plus moins polluante, a-t-il signifié.