Le secrétaire général de l'Entente des Églises et missions évangéliques au Tchad (EEMET), pasteur Djimalngar Madjibaye.
D'après le Pasteur Djimalngar Madjibaye qui s'est exprimé au Palais du 15 janvier à l'occasion de la commémoration de la fête de Noël, "il y a une inadéquation entre la foi déclarée et ses répercussions sur la vie en société".
"La volonté de rompre avec les mauvaises habitudes du passé et de contribuer à la construction d'un Tchad nouveau est dans toutes les déclarations politiques. Il reste le plus difficile, de faire en sorte que ces mots ne soient pas vains et deviennent réalité par une action cohérente et des décisions concrètes. Dieu permettra que les choses changent", a déclaré Pasteur Djimalngar Madjibaye en s'adressant notamment aux autorités.
L'EEMET "exprime sa solidarité avec les couches sociales qui souffrent". Elle fait un plaidoyer auprès des autorités afin "qu'elles veillent sur la justice et la réconciliation nationale".
Selon Pasteur Djimalngar Madjibaye, ces deux éléments sont des antidotes à l'impunité, laquelle se produit lorsque des institutions et individus se croient puissants selon leurs désirs et sans craintes de représailles, reproches et récriminations. "L'impunité règne chaque fois qu'il existe un déficit de structures démocratiques, d'équité et d'impartialité", a-t-il dit.
Et d'ajouter que "la justice, la paix et la bonne réconciliation s'épanouissent là où résident des fortes valeurs ainsi qu'une culture de constitutionnalisme visant à limiter l'arbitraire et l'abus de pouvoir. La bonne gouvernance suppose la bonne marche des institutions républicaines et la préservation des libertés et lois fondamentales".
L'EEMET plaide auprès des hautes autorités pour le respect de la journée sacrée du dimanche et de la vie humaine, l'égalité des citoyens en droits et en devoirs, l'accès aux biens communs et la juste répartition des ressources du pays.
"La volonté de rompre avec les mauvaises habitudes du passé et de contribuer à la construction d'un Tchad nouveau est dans toutes les déclarations politiques. Il reste le plus difficile, de faire en sorte que ces mots ne soient pas vains et deviennent réalité par une action cohérente et des décisions concrètes. Dieu permettra que les choses changent", a déclaré Pasteur Djimalngar Madjibaye en s'adressant notamment aux autorités.
L'EEMET "exprime sa solidarité avec les couches sociales qui souffrent". Elle fait un plaidoyer auprès des autorités afin "qu'elles veillent sur la justice et la réconciliation nationale".
Selon Pasteur Djimalngar Madjibaye, ces deux éléments sont des antidotes à l'impunité, laquelle se produit lorsque des institutions et individus se croient puissants selon leurs désirs et sans craintes de représailles, reproches et récriminations. "L'impunité règne chaque fois qu'il existe un déficit de structures démocratiques, d'équité et d'impartialité", a-t-il dit.
Et d'ajouter que "la justice, la paix et la bonne réconciliation s'épanouissent là où résident des fortes valeurs ainsi qu'une culture de constitutionnalisme visant à limiter l'arbitraire et l'abus de pouvoir. La bonne gouvernance suppose la bonne marche des institutions républicaines et la préservation des libertés et lois fondamentales".
L'EEMET plaide auprès des hautes autorités pour le respect de la journée sacrée du dimanche et de la vie humaine, l'égalité des citoyens en droits et en devoirs, l'accès aux biens communs et la juste répartition des ressources du pays.
Le conseiller technique à l'administration du territoire à la Présidence, Paul Mbainadoum Ngartebaye.
Le conseiller technique à l'administration du territoire à la Présidence, Paul Mbainadoum Ngartebaye, a représenté le président du Conseil militaire de transition (CMT) à la cérémonie. Paul Mbainadoum Ngartebaye a assuré que le CMT tient à l'inclusivité et à la réconciliation des tchadiens.
"Le PCMT aimerait que ce dialogue qui s'annonce soit une occasion de réconciliation entre les fils du Tchad. Il faudrait que tous les responsables chargés d'organiser ce dialogue prennent ça en compte et prennent des dispositions pour que ce soit une occasion de réconciliation", a-t-il conclu.
"Le PCMT aimerait que ce dialogue qui s'annonce soit une occasion de réconciliation entre les fils du Tchad. Il faudrait que tous les responsables chargés d'organiser ce dialogue prennent ça en compte et prennent des dispositions pour que ce soit une occasion de réconciliation", a-t-il conclu.