L'Office national pour la promotion de l'emploi (ONAPE) veut s'assurer de l'utilisation correcte des crédits qu'il a alloués à différents porteurs de projets. A cet effet, une équipe de l'institution a entamé une tournée ce matin.
Premier site, un établissement informatique dénommé Fadalo Lazdane et Owel. L'établissement offre une multitude de service : formation en informatique, création de site web, traduction, entre autres. Le projet est financé à quelques 2 millions de FCFA. Pressing Teiba est le deuxième site visité. Le propriétaire ayant reçu aussi 2 millions, est à son deuxième financement. Il emploie trois personnes dans sa microentreprise. Adoum Mahamat Taher est quant à lui, propriétaire d'une station de lavage. Le prêt lui a permis de se débarrasser de ses vieux équipements qu'il a gardés au fond d'un hangar. Il exhibe fièrement le nouveau groupe électrogène et l'aspirateur qu'il vient d'acheter. « Je vais travailler pour rembourser le crédit en deux ans pour bénéficier d'un autre », promet Adoum qui a reçu 1,5 millions.
Allatoingar Rimangar est titulaire d’une maîtrise en physique. La définition « jeune chômeur » qu'il se donne est aujourd'hui déphasée. Il est désormais employeur. La salle de jeux qu'il a créée à Atrone emploie deux gestionnaires et une sentinelle. Equipée de 8 écrans, ladite salle accueille un nombre impressionnant d'enfants dont les pièces d'argent payées, permettent au physicien de se prendre en charge.
« Il faut avoir un parent, une quelconque connaissance à l'ONAPE pour bénéficier du crédit », tels sont des préjugés véhiculés à l'égard de l'ONAPE. « Je ne connais personne. J'ai seulement un avaliseur, j'ai postulé. L'ONAPE a validé mon projet intéressant », informe Allatoingar. « Je ne connais personne à l'ONAPE », jure Adoum Mahamat Taher. Seuls la pertinence du projet et le remboursement à échéance, semblent les critères déterminants pour bénéficier du prêt. « J'ai remboursé le premier crédit en mois de 24 mois », semble s'enorgueillir Allatoingar. Comme quoi, qui paye ses dettes s'enrichit.
Premier site, un établissement informatique dénommé Fadalo Lazdane et Owel. L'établissement offre une multitude de service : formation en informatique, création de site web, traduction, entre autres. Le projet est financé à quelques 2 millions de FCFA. Pressing Teiba est le deuxième site visité. Le propriétaire ayant reçu aussi 2 millions, est à son deuxième financement. Il emploie trois personnes dans sa microentreprise. Adoum Mahamat Taher est quant à lui, propriétaire d'une station de lavage. Le prêt lui a permis de se débarrasser de ses vieux équipements qu'il a gardés au fond d'un hangar. Il exhibe fièrement le nouveau groupe électrogène et l'aspirateur qu'il vient d'acheter. « Je vais travailler pour rembourser le crédit en deux ans pour bénéficier d'un autre », promet Adoum qui a reçu 1,5 millions.
Allatoingar Rimangar est titulaire d’une maîtrise en physique. La définition « jeune chômeur » qu'il se donne est aujourd'hui déphasée. Il est désormais employeur. La salle de jeux qu'il a créée à Atrone emploie deux gestionnaires et une sentinelle. Equipée de 8 écrans, ladite salle accueille un nombre impressionnant d'enfants dont les pièces d'argent payées, permettent au physicien de se prendre en charge.
« Il faut avoir un parent, une quelconque connaissance à l'ONAPE pour bénéficier du crédit », tels sont des préjugés véhiculés à l'égard de l'ONAPE. « Je ne connais personne. J'ai seulement un avaliseur, j'ai postulé. L'ONAPE a validé mon projet intéressant », informe Allatoingar. « Je ne connais personne à l'ONAPE », jure Adoum Mahamat Taher. Seuls la pertinence du projet et le remboursement à échéance, semblent les critères déterminants pour bénéficier du prêt. « J'ai remboursé le premier crédit en mois de 24 mois », semble s'enorgueillir Allatoingar. Comme quoi, qui paye ses dettes s'enrichit.