Le président de l'association, Mahamat Abakar Brahim, explique que cette enquête permettra de connaître avec précision les besoins immédiats des réfugiés.
"Nous avons vu que les organisations apportent le plus souvent des contributions alimentaires. Nous sommes venus apporter un soutien moral", selon lui. Mahamat Abakar Brahim estime que beaucoup de réfugiés souffrent de problèmes psychiques.
De leur côté, les réfugiés ressassent leurs doléances. "Depuis trois jours, nous n'avons rien pour nous couvrir, seulement un drap. Je me couvre avec mes six enfants", affirme une mère de famille qui a trouvé refuge à N'Djamena suite aux violences de Kousseri.
"Ni à manger, ni de quoi se couvrir, ni de quoi subsister. C'est terrible. Mon enfant est gravement malade et je ne peux rien faire pour lui", ajoute-t-elle, les larmes aux yeux.
L'enquête de terrain va durer six jours et permettra des actions plus renforcées en faveur des réfugiés.
"Nous avons vu que les organisations apportent le plus souvent des contributions alimentaires. Nous sommes venus apporter un soutien moral", selon lui. Mahamat Abakar Brahim estime que beaucoup de réfugiés souffrent de problèmes psychiques.
De leur côté, les réfugiés ressassent leurs doléances. "Depuis trois jours, nous n'avons rien pour nous couvrir, seulement un drap. Je me couvre avec mes six enfants", affirme une mère de famille qui a trouvé refuge à N'Djamena suite aux violences de Kousseri.
"Ni à manger, ni de quoi se couvrir, ni de quoi subsister. C'est terrible. Mon enfant est gravement malade et je ne peux rien faire pour lui", ajoute-t-elle, les larmes aux yeux.
L'enquête de terrain va durer six jours et permettra des actions plus renforcées en faveur des réfugiés.