Dans le cadre des activités de la SENAFET, la ministre secrétaire générale adjointe du gouvernement, Mme Adjiné Mahamat Garfa, a organisé un café-rencontre ce lundi 06 mars.
Plusieurs femmes leaders issues de différentes catégories socio-professionnelles, constituées principalement de membres du gouvernement, de conseillères à la présidence, à la primature, de conseillères nationales et celles des grandes institutions de la République, étaient présentes à cette rencontre. C'était l'occasion d'échanger et de partager des expériences pour un Tchad émergent et égalitaire.
Dans son intervention, l'entrepreneure Fatimé Souckar Terab a critiqué l'organisation de la fête du 08 mars, considérant qu'elle n'est pas encore une fête, mais plutôt un perpétuel combat. Elle a appelé les femmes à plus d'unité et à bannir l'esprit de division qui les habite. « On a déjà dépassé le stade de voir les femmes défiler, on est ici pour dire la vérité », a-t-elle affirmé.
Elle n'a pas perdu de vue la question de la femme rurale, qu'elle considère comme délaissée. Elle a ainsi profité de l'occasion pour interpeller les autres femmes à œuvrer davantage pour que cette rencontre puisse impacter positivement la vie des couches les plus vulnérables. Selon Fatimé Souckar Terab, investir dans l'éducation des filles est une priorité absolue et non négociable.
Par ailleurs, elle a pointé du doigt le comportement de certaines femmes ministres, déclarant : « Il y a certaines d'entre vous qui devraient savoir qu'on n'est pas là pour les concurrencer, ni pour prendre leur place, encore moins pour les bousculer. Mais au contraire, si elles nous impliquent et nous tirent vers elles, on va les emmener loin ».
Enfin, elle milite pour la création d'un club de femmes influentes afin de mener des réflexions dans le cadre socio-professionnel, permettant ainsi l'épanouissement de la femme.
Plusieurs femmes leaders issues de différentes catégories socio-professionnelles, constituées principalement de membres du gouvernement, de conseillères à la présidence, à la primature, de conseillères nationales et celles des grandes institutions de la République, étaient présentes à cette rencontre. C'était l'occasion d'échanger et de partager des expériences pour un Tchad émergent et égalitaire.
Dans son intervention, l'entrepreneure Fatimé Souckar Terab a critiqué l'organisation de la fête du 08 mars, considérant qu'elle n'est pas encore une fête, mais plutôt un perpétuel combat. Elle a appelé les femmes à plus d'unité et à bannir l'esprit de division qui les habite. « On a déjà dépassé le stade de voir les femmes défiler, on est ici pour dire la vérité », a-t-elle affirmé.
Elle n'a pas perdu de vue la question de la femme rurale, qu'elle considère comme délaissée. Elle a ainsi profité de l'occasion pour interpeller les autres femmes à œuvrer davantage pour que cette rencontre puisse impacter positivement la vie des couches les plus vulnérables. Selon Fatimé Souckar Terab, investir dans l'éducation des filles est une priorité absolue et non négociable.
Par ailleurs, elle a pointé du doigt le comportement de certaines femmes ministres, déclarant : « Il y a certaines d'entre vous qui devraient savoir qu'on n'est pas là pour les concurrencer, ni pour prendre leur place, encore moins pour les bousculer. Mais au contraire, si elles nous impliquent et nous tirent vers elles, on va les emmener loin ».
Enfin, elle milite pour la création d'un club de femmes influentes afin de mener des réflexions dans le cadre socio-professionnel, permettant ainsi l'épanouissement de la femme.