La Coordination des associations de la société civile et de défense des droits de l'Homme (CASCIDHO) a lancé ce 23 octobre un vibrant appel à toutes les forces de la nation afin "de se tenir debout comme un seul Homme et de défendre les sacro-saints principes de l'unité nationale".
Le coordonnateur national de la CASCIDHO, Mahamat Dimgadimbaye, a dénoncé des "crimes odieux et barbares" à la suite des violences du 20 octobre. "Cette barbarie humaine vise l'explosion du Tchad en tant que nation une et indivisible", a indiqué Mahamat Dimgadimbaye, dénonçant l'obsession de leaders politiques à parvenir au pouvoir par l'instrumentalisation de la jeunesse.
La CASCIDHO demande au gouvernement de prendre toutes ses responsabilités pour garantir la sécurité de chaque tchadien et tchadienne, et d'imposer l'autorité de l'État. Elle juge légitime les revendications sociales mais précise que "lorsqu'elles se transforment en haine, violences barbares et macabres comme moyens d'expression politique, elle ne sont plus légitimes".
Mahamat Dimgadimbaye "condamne avec force et rigueur les évènements du 20 octobre et ses corollaires de malheurs". Il exige que la commission d'enquête judiciaire "fasse très rapidement la lumière" et que "les auteurs de ces ignominies soient traduits en urgence devant les juridictions compétentes et châtiés par la loi".
"Si l'on ne prend garde, l'on assistera à la faiblesse de l'État face à l'ascension des extrémistes politiques très dangereux pour la cohésion et l'unité nationale. Il nous faut combattre avec force et rigueur toutes les campagnes, sans distinction aucune, qui se font aujourd'hui ça et là sur les réseaux sociaux et radios communautaires appelant et incitant les communautés religieuses à s'entretuer. Ce qui se passe actuellement est grave, très grave, et nécessite une mobilisation particulière du gouvernement (...) pour dénoncer les adeptes de la guerre Nord/Sud et musulmans/chrétiens", prévient Mahamat Dimgadimbaye.
Le coordonnateur national de la CASCIDHO, Mahamat Dimgadimbaye, a dénoncé des "crimes odieux et barbares" à la suite des violences du 20 octobre. "Cette barbarie humaine vise l'explosion du Tchad en tant que nation une et indivisible", a indiqué Mahamat Dimgadimbaye, dénonçant l'obsession de leaders politiques à parvenir au pouvoir par l'instrumentalisation de la jeunesse.
La CASCIDHO demande au gouvernement de prendre toutes ses responsabilités pour garantir la sécurité de chaque tchadien et tchadienne, et d'imposer l'autorité de l'État. Elle juge légitime les revendications sociales mais précise que "lorsqu'elles se transforment en haine, violences barbares et macabres comme moyens d'expression politique, elle ne sont plus légitimes".
Mahamat Dimgadimbaye "condamne avec force et rigueur les évènements du 20 octobre et ses corollaires de malheurs". Il exige que la commission d'enquête judiciaire "fasse très rapidement la lumière" et que "les auteurs de ces ignominies soient traduits en urgence devant les juridictions compétentes et châtiés par la loi".
"Si l'on ne prend garde, l'on assistera à la faiblesse de l'État face à l'ascension des extrémistes politiques très dangereux pour la cohésion et l'unité nationale. Il nous faut combattre avec force et rigueur toutes les campagnes, sans distinction aucune, qui se font aujourd'hui ça et là sur les réseaux sociaux et radios communautaires appelant et incitant les communautés religieuses à s'entretuer. Ce qui se passe actuellement est grave, très grave, et nécessite une mobilisation particulière du gouvernement (...) pour dénoncer les adeptes de la guerre Nord/Sud et musulmans/chrétiens", prévient Mahamat Dimgadimbaye.