Une vente de moutons le dimanche 24 mai 2020 à Moundou pour la fête de l'Aid El-Fitr. © Golmen Ali/Alwihda Info
L'Aid El Fitr Al Moubarak, marquant la fin du Ramadan pour les musulmans, a été célébré depuis dimanche dernier dans un contexte particulier cette année, en raison de la pandémie de Covid-19.
Après un mois de jeune, les citoyens se sont pliés à une série de mesures pour la fête : pas de prière à la mosquée, pas de visites et pas de jeux à l'extérieur pour les enfants.
Après la prière de l'Aid El Fitr à domicile, tel que recommandé par le Conseil supérieur des affaires islamiques, les citoyens ont pallié à la restriction des visites grâce à l'envoi de messages ou via les appels téléphoniques.
À Ati, une descente dans quelques carrés de la ville nous a permis de nous rendre compte du degré de respect des mesures prises pour éviter la propagation du Covid-19. Les forces de l'ordre ont joué un rôle très important pour veiller au respect des mesures. Dès le premier jour de la fête, très tôt le matin, les policiers se sont déployés partout dans la ville, notamment à proximité des mosquées afin d'éviter les attroupements.
Quelques enfants ont voulu jouer dans les rues pour exprimer leur joie. Ils ont toutefois dû rebrousser chemin.
Pour donner un cachet particulier à la fête, le gouverneur de la province du Batha, Baïnado Tatola, a reçu les voeux du conseil provincial des affaires islamiques, du secrétaire général de la province du Batha, du préfet de département de Batha Ouest et du maire de la ville d'Ati.
En réponse, Baïnado Tatola a présenté ses voeux de bonheur, de prospérité et de santé au président de la République, au Conseil supérieur des affaires islamiques à travers l'Imam, à ses collaborateurs et à la population.
Pour finir, le gouverneur a invité les différentes responsables à intensifier la sensibilisation contre le coronavirus, "car nous sommes menacés", a-t-il conclu.
Après un mois de jeune, les citoyens se sont pliés à une série de mesures pour la fête : pas de prière à la mosquée, pas de visites et pas de jeux à l'extérieur pour les enfants.
Après la prière de l'Aid El Fitr à domicile, tel que recommandé par le Conseil supérieur des affaires islamiques, les citoyens ont pallié à la restriction des visites grâce à l'envoi de messages ou via les appels téléphoniques.
À Ati, une descente dans quelques carrés de la ville nous a permis de nous rendre compte du degré de respect des mesures prises pour éviter la propagation du Covid-19. Les forces de l'ordre ont joué un rôle très important pour veiller au respect des mesures. Dès le premier jour de la fête, très tôt le matin, les policiers se sont déployés partout dans la ville, notamment à proximité des mosquées afin d'éviter les attroupements.
Quelques enfants ont voulu jouer dans les rues pour exprimer leur joie. Ils ont toutefois dû rebrousser chemin.
Pour donner un cachet particulier à la fête, le gouverneur de la province du Batha, Baïnado Tatola, a reçu les voeux du conseil provincial des affaires islamiques, du secrétaire général de la province du Batha, du préfet de département de Batha Ouest et du maire de la ville d'Ati.
En réponse, Baïnado Tatola a présenté ses voeux de bonheur, de prospérité et de santé au président de la République, au Conseil supérieur des affaires islamiques à travers l'Imam, à ses collaborateurs et à la population.
Pour finir, le gouverneur a invité les différentes responsables à intensifier la sensibilisation contre le coronavirus, "car nous sommes menacés", a-t-il conclu.