Militaire de formation et administrateur, outre ces attributions, le général Issakha Ahmat Ardja, gouverneur de la province de Wadi Fira, a œuvré inlassablement pour le fonctionnement des écoles de sa province. En effet, en 29 mois de gestion comme gouverneur de cette province, il a posé des actes assez significatifs au nombre desquels on peut citer : la réouverture des écoles fermées ; la fabrication de 1 000 tableaux, de 9 443 ardoises, de 650 règles, de 300 bancs et 50 tables bancs, tous, made in Biltine ; La dotation des écoles de 4 700 stylos, de 8 000 crayons, de 5 600 cahiers, de 320 cartons de craies ; la construction de 22 hangars améliorés et de 16 latrines ; la réfection de la maison des jeunes ; la livraison de plusieurs cartons de livres pour les établissements du primaire et du secondaire ; la prise en charge de 30 maitres communautaires pendant 2 ans.
Il est l’initiateur de la construction de l’École normale des instituteurs de Biltine ainsi que du Centre polytechnique financés à hauteur de 70% par ses propres fonds ; Il a fait de la sensibilisation des parents son cheval de bataille pour la scolarisation massive des enfants et particulier celle des filles sans oublier la prise en charge des maitres communautaires. Au-delà du secteur de l’éducation, sa bienfaisance a touché le domaine de l’agriculture avec la fabrication des charrues, de l’énergie avec la mise à disposition des panneaux solaires ainsi qu’à la santé. Il a aussi apporté cet appui aux provinces de l’Ennedi Est et Ouest, du Borkou et la liste n’est pas limitative. Geste que la communauté parentale de Wadi Fira, les autorités administratives, scolaires, coutumières et politiques, ont qualifié de très citoyen et qui mérite d’être primé. C’est dans ce sens que la FENAPET a tenu à concrétiser en lui décernant un satisfecit.
Il est l’initiateur de la construction de l’École normale des instituteurs de Biltine ainsi que du Centre polytechnique financés à hauteur de 70% par ses propres fonds ; Il a fait de la sensibilisation des parents son cheval de bataille pour la scolarisation massive des enfants et particulier celle des filles sans oublier la prise en charge des maitres communautaires. Au-delà du secteur de l’éducation, sa bienfaisance a touché le domaine de l’agriculture avec la fabrication des charrues, de l’énergie avec la mise à disposition des panneaux solaires ainsi qu’à la santé. Il a aussi apporté cet appui aux provinces de l’Ennedi Est et Ouest, du Borkou et la liste n’est pas limitative. Geste que la communauté parentale de Wadi Fira, les autorités administratives, scolaires, coutumières et politiques, ont qualifié de très citoyen et qui mérite d’être primé. C’est dans ce sens que la FENAPET a tenu à concrétiser en lui décernant un satisfecit.
Il faut signaler que le 25 avril 2012, au plan continental, la Fédération Africaine des Associations des Parents d’Elèves et d’Etudiants (FAPE) avec siège au Congo Brazzaville et la Fédération Nationale des Associations des Parents d’Elèves du Tchad (FENAPET), ont élevé le feu Maréchal Idriss Déby Itno au rang de Président d’honneur de la FAPE. A l’issue de cette cérémonie, les retombées n’ont pas tardé. C’est ainsi qu’il a ordonné que le subside des maitres communautaires soit augmenté à 60 000 F contre 30 000F au paravent.
Aujourd’hui, pour ses actes positifs en faveur de l’éducation, le général Issakha Ahmat Ardja est au plan national, le premier parent à être honoré par les pères et mères d’élèves du Tchad. Le président de la FENAPET, Bamaye Mamadou Boukar qui a officié la cérémonie, a saisi cette opportunité pour lancer un message vibrant aux différentes autorités provinciales du Tchad de suivre l’exemple du général Issakha Ahmat Ardja. Il leur demande de poser des gestes altruistes.
Le président de la FENAPET ajoute que les Etats développés ont atteint leur apogée en mettant l’accent sur la formation du capital humain, seul gage d’un avenir radieux. "Notre frère Issakha Ahmat Ardja a ainsi joué sa partition en faveur du développement communautaire et partant, en direction de la jeunesse : geste que les parents d’élèves apprécient à sa juste valeur. Il a bien compris que l’éducation étant l’affaire de tous, mais elle est aussi le socle du développement", a déclaré le président de la FENAPET. Il a exhorté toute la population de la Province de Wadi Fira à pérenniser les œuvres entreprises et réalisées par le gouverneur pour le bonheur des progénitures.
Aujourd’hui, pour ses actes positifs en faveur de l’éducation, le général Issakha Ahmat Ardja est au plan national, le premier parent à être honoré par les pères et mères d’élèves du Tchad. Le président de la FENAPET, Bamaye Mamadou Boukar qui a officié la cérémonie, a saisi cette opportunité pour lancer un message vibrant aux différentes autorités provinciales du Tchad de suivre l’exemple du général Issakha Ahmat Ardja. Il leur demande de poser des gestes altruistes.
Le président de la FENAPET ajoute que les Etats développés ont atteint leur apogée en mettant l’accent sur la formation du capital humain, seul gage d’un avenir radieux. "Notre frère Issakha Ahmat Ardja a ainsi joué sa partition en faveur du développement communautaire et partant, en direction de la jeunesse : geste que les parents d’élèves apprécient à sa juste valeur. Il a bien compris que l’éducation étant l’affaire de tous, mais elle est aussi le socle du développement", a déclaré le président de la FENAPET. Il a exhorté toute la population de la Province de Wadi Fira à pérenniser les œuvres entreprises et réalisées par le gouverneur pour le bonheur des progénitures.
Parmi tous les gouverneurs qui se sont succédés à la tête de cette province, le général Issakha Ahmat Ardja s'est le plus investi en faveur de l'éducation.
Pour le récipiendaire, l’initiative de la FENAPET lui va droit au cœur. Il promet que même après son départ de la province, il continuera à apporter son concours pour que les projets en cours d’achèvement connaissent leur aboutissement, notamment l’École normale d’instituteurs et le Centre polytechnique. D’après lui, pour que les prisons soient vides, il faut ouvrir les écoles, car les indélicats, les criminels que nous rencontrons sur nos chemins, sont pour la plupart des gens qui n’ont pas été à l’école.
"Il est important que les parents, scolarisent leurs enfants, étant entendu que l’instruction est une denrée impérissable. Elle ouvre la porte du succès. L’acte posé est pour la postérité", a déclaré le général qui est le fondateur du complexe scolaire et universitaire Toumaï.
Pour le récipiendaire, l’initiative de la FENAPET lui va droit au cœur. Il promet que même après son départ de la province, il continuera à apporter son concours pour que les projets en cours d’achèvement connaissent leur aboutissement, notamment l’École normale d’instituteurs et le Centre polytechnique. D’après lui, pour que les prisons soient vides, il faut ouvrir les écoles, car les indélicats, les criminels que nous rencontrons sur nos chemins, sont pour la plupart des gens qui n’ont pas été à l’école.
"Il est important que les parents, scolarisent leurs enfants, étant entendu que l’instruction est une denrée impérissable. Elle ouvre la porte du succès. L’acte posé est pour la postérité", a déclaré le général qui est le fondateur du complexe scolaire et universitaire Toumaï.