La Loi de finances rectificative a été adoptée mardi en début d'après-midi par les députés, au Palais de la démocratie. Ils se sont prononcés en faveur du texte à 155 voix.
L'adoption du texte a été précédée de discussions. Le ministre des Finances et du Budget, Tahir Hamid Nguilin, et le ministre de l'Économie, de la Planification du développement et de la Coopération internationale, Dr. Issa Doubragne, ont pris la parole pour apporter plusieurs précisions et répondre aux interrogations des députés.
Les recettes budgétaires passent de 1.209 milliards FCFA à 1.136 milliards FCFA alors que les dépenses passent de 1052 milliards FCFA à 1196 milliards FCFA avec un déficit budgétaire de 60 milliards 252 millions FCFA.
Le texte rectificatif est justifié par la survenance brusque et dramatique du Covid-19 et de ses conséquences socio-économiques, la chute du cours des matières premières, notamment du pétrole, la rupture de la chaine logistique mondiale, la lutte contre la secte Boko Haram et le maintien de la sécurité sur toute l'étendue du territoire national.
L'objectif de ce texte est notamment de réviser en baisse les recettes, de prendre en compte les mesures gouvernementales annoncées par le chef de l'État, d'évaluer en hausse l'enveloppe budgétaire pour les dépenses du personnel, et réviser en hausse de 48 milliards Fcfa le crédit budgétaire pour orienter les ressources publiques en priorité à la lutte contre la Covid-19 dans plusieurs domaines.
L'adoption du texte a été précédée de discussions. Le ministre des Finances et du Budget, Tahir Hamid Nguilin, et le ministre de l'Économie, de la Planification du développement et de la Coopération internationale, Dr. Issa Doubragne, ont pris la parole pour apporter plusieurs précisions et répondre aux interrogations des députés.
Les recettes budgétaires passent de 1.209 milliards FCFA à 1.136 milliards FCFA alors que les dépenses passent de 1052 milliards FCFA à 1196 milliards FCFA avec un déficit budgétaire de 60 milliards 252 millions FCFA.
Le texte rectificatif est justifié par la survenance brusque et dramatique du Covid-19 et de ses conséquences socio-économiques, la chute du cours des matières premières, notamment du pétrole, la rupture de la chaine logistique mondiale, la lutte contre la secte Boko Haram et le maintien de la sécurité sur toute l'étendue du territoire national.
L'objectif de ce texte est notamment de réviser en baisse les recettes, de prendre en compte les mesures gouvernementales annoncées par le chef de l'État, d'évaluer en hausse l'enveloppe budgétaire pour les dépenses du personnel, et réviser en hausse de 48 milliards Fcfa le crédit budgétaire pour orienter les ressources publiques en priorité à la lutte contre la Covid-19 dans plusieurs domaines.