Lançant officiellement l’atelier, la directrice générale de la Maison de la femme, Amina Tidjani, explique que les mesures prises par le gouvernement pour contrer la pandémie de Covid-19 ont non seulement entraîné des changements sur le mode de vie des populations tchadiennes mais aussi exacerbé la vulnérabilité des femmes et des filles. Elle ajoute que l’arrêt ou la suspension des interventions de prévention et réponse (sensibilisation de masse, prises en charge psychosociale et médicale) aux violences basées sur le genre dans les structures de prestation de service ont accru la vulnérabilité des femmes et des filles aussi bien en milieu urbain que rural.
Amina Tidjani relève que l'atelier qui se veut un cadre d’échange et d’expérimentation vise essentiellement à outiller les participants sur les mécanismes de prévention et de réponse aux violences basées sur le genre en tant qu’acteurs majeurs de la promotion et de l’épanouissement de la femme et de la petite fille.
Cet atelier qui s’inscrit dans le cadre du projet de renforcement des capacités de la société civile a pour objectif de partager et d'échanger sur les rôles et responsabilités des parties prenantes ; faire le planning de réalisation et de diffusion d'émissions radiophoniques ; élaborer et mettre en place des stratégies de communication et de sensibilisation contre les VBG dans le contexte Covid-19 et identifier les thématiques pour la sensibilisation sur les VBG.
La directrice générale de la Maison de la femme souligne que face aux effets dévastateurs de la Covid-19 et la recrudescence des VBG, la formation des acteurs de lutte contre les violences faites aux femmes sur les interventions de prévention et de réponse n’est plus une option mais plutôt un impératif.
Amina Tidjani relève que l'atelier qui se veut un cadre d’échange et d’expérimentation vise essentiellement à outiller les participants sur les mécanismes de prévention et de réponse aux violences basées sur le genre en tant qu’acteurs majeurs de la promotion et de l’épanouissement de la femme et de la petite fille.
Cet atelier qui s’inscrit dans le cadre du projet de renforcement des capacités de la société civile a pour objectif de partager et d'échanger sur les rôles et responsabilités des parties prenantes ; faire le planning de réalisation et de diffusion d'émissions radiophoniques ; élaborer et mettre en place des stratégies de communication et de sensibilisation contre les VBG dans le contexte Covid-19 et identifier les thématiques pour la sensibilisation sur les VBG.
La directrice générale de la Maison de la femme souligne que face aux effets dévastateurs de la Covid-19 et la recrudescence des VBG, la formation des acteurs de lutte contre les violences faites aux femmes sur les interventions de prévention et de réponse n’est plus une option mais plutôt un impératif.
Le directeur pays de FHI 360, Brahim Mamadou Kourtou, affirme que cette assise est le lieu de planifier les activités pour une implication efficace et rigoureuse afin de mieux informer les citoyens sur la prévention de la violence basée sur le genre mais aussi sur leurs droits et devoirs civiques face à des telles pratiques dans un contexte de pandémie.
L’appui de la FHI 360 s’inscrit dans le cadre du projet de renforcement de la société civile au Tchad. Ce projet est entièrement financé par le gouvernement américain, à travers l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et est mis en œuvre par FHI 360. Il a pour objet de renforcer les acteurs démocratiques dans les secteurs de la société civile et des médias afin d’accroître la participation civique au Tchad, précise Brahim Mamadou Kourtou.
Le directeur pays de FHI 360 indique que ce projet est l’opportunité d’améliorer et de renforcer la collaboration entre l’ensemble des acteurs de la société civile et le gouvernement pour créer un environnemental social apaisé où il fait bon vivre.
À travers la subvention, la Maison de la femme entend apporter sa pierre à l’édifice en favorisant la participation des citoyens dans l’édification d’une société juste sans marginalisation basée sur le genre.
L’appui de la FHI 360 s’inscrit dans le cadre du projet de renforcement de la société civile au Tchad. Ce projet est entièrement financé par le gouvernement américain, à travers l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et est mis en œuvre par FHI 360. Il a pour objet de renforcer les acteurs démocratiques dans les secteurs de la société civile et des médias afin d’accroître la participation civique au Tchad, précise Brahim Mamadou Kourtou.
Le directeur pays de FHI 360 indique que ce projet est l’opportunité d’améliorer et de renforcer la collaboration entre l’ensemble des acteurs de la société civile et le gouvernement pour créer un environnemental social apaisé où il fait bon vivre.
À travers la subvention, la Maison de la femme entend apporter sa pierre à l’édifice en favorisant la participation des citoyens dans l’édification d’une société juste sans marginalisation basée sur le genre.