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Tchad : la grève du secteur public pénalise les structures sanitaires à N'Djamena
Le centre de santé Sultan Cherif Kasser dans le 2ème arrondissement de N'Djamena. © Mahamat Issa Gadaya/Alwihda Info
Au centre de santé Sultan Cherif Kasser dans le 2ème arrondissement de N'Djamena, des patients sont allongés sur des lits, en l'absence de personnel pour les assister. Sauf quelques médecins observent le service minimum ou tout simplement ne font pas grève.
Dr. Janice explique que le Syndicat des médecins du Tchad (SMT) n'est pas en grève, raison pour laquelle elle est présente sur son lieu de travail, aux côtés des patients.
"Les médecins que vous voyez sont des stagiaires. Ils ont été réquisitionnés dans divers services. C'est grave en ce moment parce qu'un stagiaire n'est pas totalement formé", indique Dr. Janice. Elle appelle le gouvernement à dialoguer avec les syndicats pour sauver la vie des citoyens.
La grève est également observée dans plusieurs autres structures sanitaires. L'UST réclame des meilleurs conditions de traitement et l'application du pacte social par le gouvernement. Si les autorités se félicitent des avancées dans l'application du pacte, les syndicats affiliés à l'UST déplorent des retards et une application au compte-goutte.
Lundi, le ministère de la Santé publique a réquisitionné du personnel pour faire face à la grève sèche.
Dr. Janice explique que le Syndicat des médecins du Tchad (SMT) n'est pas en grève, raison pour laquelle elle est présente sur son lieu de travail, aux côtés des patients.
"Les médecins que vous voyez sont des stagiaires. Ils ont été réquisitionnés dans divers services. C'est grave en ce moment parce qu'un stagiaire n'est pas totalement formé", indique Dr. Janice. Elle appelle le gouvernement à dialoguer avec les syndicats pour sauver la vie des citoyens.
La grève est également observée dans plusieurs autres structures sanitaires. L'UST réclame des meilleurs conditions de traitement et l'application du pacte social par le gouvernement. Si les autorités se félicitent des avancées dans l'application du pacte, les syndicats affiliés à l'UST déplorent des retards et une application au compte-goutte.
Lundi, le ministère de la Santé publique a réquisitionné du personnel pour faire face à la grève sèche.
