Budget d'exercice de CNT : "les conseillers se taillent-ils la part du lion ?", s'interroge La Voix. Les prévisions de ce projet dévoilé sur la toile suscitent moult interrogations. "Beaucoup de tchadiens estiment que les dépenses prévues pour le fonctionnement du parlement provisoire sont trop excessives alors que les hôpitaux sont dépourvus des scanners", ajoute le journal. Selon La Voix, "le projet de budget exercice 2021 du CNT, rendu public le 14 octobre 2021, est constitué de trois rubriques : indemnités parlementaires, salaires et accessoires, des conseillers et du personnel (8,9 milliards FCFA), matériels roulants (6,5 milliards Francs CFA), matériels informatiques (266 millions Francs CFA). Il reste tout de même que les autorités concernées ne disent pas si ces documents proviennent de leurs services ou pas", rapporte La Voix.
"La transition : 18 mois à parier", titre à sa Une Abba Garde. Pour le journal, "après bientôt six mois de transition, les voyants sont bien au rouge. Si sur le plan social, le pouvoir de Mahamat Kaka essaie de faire semblant de tenir tant bien que mal sur les deux pieds, sur le plan politique le prémices du déluge prédit par son feu père sont latents. Toute la première semaine du mois d'octobre à vue couler du sang dans plusieurs contrées où des jeunes outrés par l'escroquerie politique dont fait montre le Conseil militaire de transition (CMT), ont été sauvagement réprimés alors qu'il tentaient de mener des actions de désobéissance civile", constate Abba Garde.
"La chasse aux sorcières", annonce à sa Une l'Observeur. "En ce mois d'octobre 2021, le CMT s'est lancé dans une cabale contre la coordination des actions citoyennes Wakit Tama. Cet acharnement de la junte militaire contre les leaders, les militants et sympathisants de Wakit Tama, demontre que Mahamat Idriss Déby et sa bande cherchent à s'imposer aux tchadiens par la force", rapporte le journal.
"La répression tous azimuts", titre à sa Une N'Djamena Hebdo. Pour l'éditorialiste du journal, "c'est rocambolesque ! Ridicule honteux ! Ces mots ne suffisent pas à qualifier ce à quoi se livre le CMT et le gouvernement de transition ces dernières semaines contre une partie de la nation qui leur est hostile. Le 10 octobre, un bataillon de la police est allé perquisitionné le domicile de Masra Succès, président des Transformateurs. Objet de la perquisition : descendre le drapeau aux couleurs nationales (Bleu-jaune-rouge) qui flotte sur la maison de Masra Succès, qui sert aussi de siège pour son parti.
Selon la police, "il est strictement interdite de faire flotter le drapeau national, symbole de l'État, dans un domicile privé. Le tricolore n'est flottable que devant les institutions publiques", rapporte N'Djamena Hebdo.
"La répression reprend de plus belle", annonce Le Pays. "Les leaders de la plateforme des organisations de la société civile Wakit Tamma, hostiles à la transition en cours, sont sur la sellette. Face à la rue qui grogne chaque semaine, les autorités de la transition ont opté pour la répresion et les intimidations. La justice est utilisée comme à l'accoutumée comme moyen pour faire taire des voies discordantes", analyse Le Pays.
Répression des manifestations au Tchad ; les vérités crues de Dr. Masra Succès", titre Le Visionnaire. "Après la répression de la marche pacifique de la coordination des actions citoyennes Wakit Tama du 2 octobre 2021 et l'interdiction de celle du 9 octobre dernier, Succès Masra, l'un des initiateurs, a animé une conférence de presse le 8 octobre 2021 au siège de son parti pour un recadrage", informe Le Visionnaire. Dans les colonnes de Le Visionnaire, il est rapporté :"nous ne marchons pas contre le CMT, nous marchons pour un Tchad juste et équitable, pour une transition au service de tous, afin d'aboutir à ce qui n'a jamais eu lieu dans ce pays : la liberté pour un peuple de choisir démocratiquement ses dirigeants", recadre Dr. Masra Succès.
"Gra-appel du 1er juin dit non à un semblant dialogue national inclusif", rapporte l'Observeur. Pour Bedoumra Kordjé, le président du Gra-appel du 1er juin, toutes les conditions sont en train d'être réunies par le CMT pour la sauvegarde du statut quo en lieu d'un véritable dialogue national inclusif. "Pourtant, les tchadiens optimistes espèrent se retrouver en fin autour d'une table, pour débattre et adopter des solutions consensuelles, juste et durables, aux principaux goulots d'étranglements qui minent le développement de leur pays", souligne Bedoumra Kordjé.
"Pour un véritable dialogue national inclusif, la diaspora tchadienne exige la révision de la charte de transition", ajoute Le Pays. "Dans une lettre adressée au président du comité d'organisation du dialogue national inclusif, la diaspora tchadienne exige la révision de la charte de transition pour permettre à ce dialogue en préparation d'être institué par ladite charte et sortir le pays de 30 ans de règne chaotique", analyse l'hebdomadaire Le Pays.
"La transition : 18 mois à parier", titre à sa Une Abba Garde. Pour le journal, "après bientôt six mois de transition, les voyants sont bien au rouge. Si sur le plan social, le pouvoir de Mahamat Kaka essaie de faire semblant de tenir tant bien que mal sur les deux pieds, sur le plan politique le prémices du déluge prédit par son feu père sont latents. Toute la première semaine du mois d'octobre à vue couler du sang dans plusieurs contrées où des jeunes outrés par l'escroquerie politique dont fait montre le Conseil militaire de transition (CMT), ont été sauvagement réprimés alors qu'il tentaient de mener des actions de désobéissance civile", constate Abba Garde.
"La chasse aux sorcières", annonce à sa Une l'Observeur. "En ce mois d'octobre 2021, le CMT s'est lancé dans une cabale contre la coordination des actions citoyennes Wakit Tama. Cet acharnement de la junte militaire contre les leaders, les militants et sympathisants de Wakit Tama, demontre que Mahamat Idriss Déby et sa bande cherchent à s'imposer aux tchadiens par la force", rapporte le journal.
"La répression tous azimuts", titre à sa Une N'Djamena Hebdo. Pour l'éditorialiste du journal, "c'est rocambolesque ! Ridicule honteux ! Ces mots ne suffisent pas à qualifier ce à quoi se livre le CMT et le gouvernement de transition ces dernières semaines contre une partie de la nation qui leur est hostile. Le 10 octobre, un bataillon de la police est allé perquisitionné le domicile de Masra Succès, président des Transformateurs. Objet de la perquisition : descendre le drapeau aux couleurs nationales (Bleu-jaune-rouge) qui flotte sur la maison de Masra Succès, qui sert aussi de siège pour son parti.
Selon la police, "il est strictement interdite de faire flotter le drapeau national, symbole de l'État, dans un domicile privé. Le tricolore n'est flottable que devant les institutions publiques", rapporte N'Djamena Hebdo.
"La répression reprend de plus belle", annonce Le Pays. "Les leaders de la plateforme des organisations de la société civile Wakit Tamma, hostiles à la transition en cours, sont sur la sellette. Face à la rue qui grogne chaque semaine, les autorités de la transition ont opté pour la répresion et les intimidations. La justice est utilisée comme à l'accoutumée comme moyen pour faire taire des voies discordantes", analyse Le Pays.
Répression des manifestations au Tchad ; les vérités crues de Dr. Masra Succès", titre Le Visionnaire. "Après la répression de la marche pacifique de la coordination des actions citoyennes Wakit Tama du 2 octobre 2021 et l'interdiction de celle du 9 octobre dernier, Succès Masra, l'un des initiateurs, a animé une conférence de presse le 8 octobre 2021 au siège de son parti pour un recadrage", informe Le Visionnaire. Dans les colonnes de Le Visionnaire, il est rapporté :"nous ne marchons pas contre le CMT, nous marchons pour un Tchad juste et équitable, pour une transition au service de tous, afin d'aboutir à ce qui n'a jamais eu lieu dans ce pays : la liberté pour un peuple de choisir démocratiquement ses dirigeants", recadre Dr. Masra Succès.
"Gra-appel du 1er juin dit non à un semblant dialogue national inclusif", rapporte l'Observeur. Pour Bedoumra Kordjé, le président du Gra-appel du 1er juin, toutes les conditions sont en train d'être réunies par le CMT pour la sauvegarde du statut quo en lieu d'un véritable dialogue national inclusif. "Pourtant, les tchadiens optimistes espèrent se retrouver en fin autour d'une table, pour débattre et adopter des solutions consensuelles, juste et durables, aux principaux goulots d'étranglements qui minent le développement de leur pays", souligne Bedoumra Kordjé.
"Pour un véritable dialogue national inclusif, la diaspora tchadienne exige la révision de la charte de transition", ajoute Le Pays. "Dans une lettre adressée au président du comité d'organisation du dialogue national inclusif, la diaspora tchadienne exige la révision de la charte de transition pour permettre à ce dialogue en préparation d'être institué par ladite charte et sortir le pays de 30 ans de règne chaotique", analyse l'hebdomadaire Le Pays.