Une route au Tchad. Illustration © Mbaïnaissem Gédéon/Alwihda Info
Le ministre des Infrastructure et des Transports, Ahmat Abakar Adjid, a confirmé jeudi qu'un marché est déjà signé pour la construction de la route Djoumane-Laï.
"L'entreprise est en train d'enregistrer son marché", a précisé le membre du gouvernement. Il s'est exprimé lors des échanges avec les membres du cercle de convergence économique.
Selon le ministre, le Maréchal du Tchad est conscient de cette affaire de développement du réseau routier. Preuve de cette importance, Ahmat Abakar Adjid a expliqué qu'il est le premier à avoir été reçu par le chef de l'État au lendemain des réunions de prise de contact, pour recevoir des instructions fermes pour le démarrage de tous les travaux routiers à la fin de l'hivernage.
Fin février 2020, le chef de l'État a annoncé le lancement avant la fin de l'année de la construction de la route Djoumane-Laï, lors d'un déplacement à Laï. "Nous avons construit un pont, mais le choc que nous avons eu en début 2014 nous a contraint d'abandonner l'ensemble des projets de développement. Nous allons reprendre petit à petit", a-t-il dit, justifiant les retards dans le développement des infrastructures routières.
Le désenclavement de la province de la Tandjilé est une doléance exprimée par toute la population.
"L'entreprise est en train d'enregistrer son marché", a précisé le membre du gouvernement. Il s'est exprimé lors des échanges avec les membres du cercle de convergence économique.
Selon le ministre, le Maréchal du Tchad est conscient de cette affaire de développement du réseau routier. Preuve de cette importance, Ahmat Abakar Adjid a expliqué qu'il est le premier à avoir été reçu par le chef de l'État au lendemain des réunions de prise de contact, pour recevoir des instructions fermes pour le démarrage de tous les travaux routiers à la fin de l'hivernage.
Fin février 2020, le chef de l'État a annoncé le lancement avant la fin de l'année de la construction de la route Djoumane-Laï, lors d'un déplacement à Laï. "Nous avons construit un pont, mais le choc que nous avons eu en début 2014 nous a contraint d'abandonner l'ensemble des projets de développement. Nous allons reprendre petit à petit", a-t-il dit, justifiant les retards dans le développement des infrastructures routières.
Le désenclavement de la province de la Tandjilé est une doléance exprimée par toute la population.