Le ministère de l’Elevage, détaché depuis 1980, a fait ses premiers pas avant même l’indépendance du Tchad, avec la création en 1952 du Laboratoire de Farcha dans le cadre de l’Institut d’Elevage de médecine vétérinaire des pays tropicaux (IEMVT). La santé animale constitue le fondement de la mission dudit département, ce qui a permis l’éradication de certaines maladies comme la Peste bovine et le contrôle de la PPCB, PPR, les deux charbons et la pasteurellose.
D'après une présentation de Dr Mallah Abakar Al-hadj sur la santé animale, le ministère dispose d’un organigramme bien structuré, comprenant des directions techniques. Placée sous la tutelle de la Direction Générale du ministère puis de la Direction des services vétérinaires, la santé animale, explique Dr Mallah Abakar Al-hadj, est ancrée au sein de la sous-direction santé animale. La sous-direction santé animale est composée de deux divisions et de quatre services techniques, s’occupant notamment de la lutte et de la surveillance des maladies animales, de la législation et du contrôle des mouvements des animaux
A chaque direction, division et service technique, sont dévolues des attributions précises. Toutes se complètent dans leur mission globale qui est d’abord scientifique dans l’appui à la recherche, puis économique avec l’augmentation de la production et de la productivité du cheptel animalier du pays. Par conséquent, tout ce travail fait de l’élevage un secteur qui contribue régulièrement au PIB, à la richesse et donc à la croissance économique, soutient l’intervenant.
Les enjeux liés à la santé animale relatifs surtout aux vaccins, au contrôle, à la surveillance épidémiologique et aux stratégies d’éradication de certaines maladies récurrentes comme la peste bovine ont été également abordées.
Cette intervention a suscité des questions. Les journalistes voulant mieux comprendre les contours du sujet, se sont appuyés sur des constats liés à certaines pratiques qui se faisaient sur le terrain. L’orateur a notamment été questionné sur l’exercice de la profession des vétérinaires, leur absence dans des aires d’abattage ou encore sur la tendance chez les éleveurs à soigner eux-mêmes leurs animaux. D’autres ont soulevé des difficultés dans la conduite des campagnes de vaccination et certaines formes de réticence observées chez les éleveurs. Face à toutes ces interrogations, Dr Mallah Abakar Al-hadj appuyé par les autres cadres du ministère, au rang duquel le directeur général adjoint du ministère, Dr Mbaidingatoloum Fidèle Molele, a apporté des éclaircissements. Au-delà des réponses, les contributions des uns et des autres ont enrichi les échanges et « étanché la faim et la soif » des journalistes sur cette question précise.
D'après une présentation de Dr Mallah Abakar Al-hadj sur la santé animale, le ministère dispose d’un organigramme bien structuré, comprenant des directions techniques. Placée sous la tutelle de la Direction Générale du ministère puis de la Direction des services vétérinaires, la santé animale, explique Dr Mallah Abakar Al-hadj, est ancrée au sein de la sous-direction santé animale. La sous-direction santé animale est composée de deux divisions et de quatre services techniques, s’occupant notamment de la lutte et de la surveillance des maladies animales, de la législation et du contrôle des mouvements des animaux
A chaque direction, division et service technique, sont dévolues des attributions précises. Toutes se complètent dans leur mission globale qui est d’abord scientifique dans l’appui à la recherche, puis économique avec l’augmentation de la production et de la productivité du cheptel animalier du pays. Par conséquent, tout ce travail fait de l’élevage un secteur qui contribue régulièrement au PIB, à la richesse et donc à la croissance économique, soutient l’intervenant.
Les enjeux liés à la santé animale relatifs surtout aux vaccins, au contrôle, à la surveillance épidémiologique et aux stratégies d’éradication de certaines maladies récurrentes comme la peste bovine ont été également abordées.
Cette intervention a suscité des questions. Les journalistes voulant mieux comprendre les contours du sujet, se sont appuyés sur des constats liés à certaines pratiques qui se faisaient sur le terrain. L’orateur a notamment été questionné sur l’exercice de la profession des vétérinaires, leur absence dans des aires d’abattage ou encore sur la tendance chez les éleveurs à soigner eux-mêmes leurs animaux. D’autres ont soulevé des difficultés dans la conduite des campagnes de vaccination et certaines formes de réticence observées chez les éleveurs. Face à toutes ces interrogations, Dr Mallah Abakar Al-hadj appuyé par les autres cadres du ministère, au rang duquel le directeur général adjoint du ministère, Dr Mbaidingatoloum Fidèle Molele, a apporté des éclaircissements. Au-delà des réponses, les contributions des uns et des autres ont enrichi les échanges et « étanché la faim et la soif » des journalistes sur cette question précise.