Le ministère des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine et de la Coopération internationale, en partenariat avec l'Organisation internationale pour la migration, a clôturé ce jeudi 14 mars l'atelier de mobilisation de la diaspora de la France et du Niger dans le domaine de l'enseignement supérieur et de la santé, afin de contribuer au développement du Tchad.
L'atelier qui s'est tenu pendant trois jours, du 12 au 14 mars, dans le cadre du projet intitulé "Diaspora", a permis aux participants d'examiner le répertoire de la diaspora de la France et du Niger, d'élaborer une cartographie des tchadiens des deux pays et de mettre en oeuvre une politique nationale d'implication et d'autonomisation de la diaspora dans le processus de développement du Tchad.
"Si le choix a été porté sur la France et le Niger, ce n'est pas parcequ'ils sont plus importants que d'autres diaspora, mais c'est juste un échantillon que nous avons bien voulu choisir pour l'expérimentation. Par rapport à la diaspora de la France, ce pays a déjà un répertoire de compétence qui est déjà mis sur pied et permet d'avoir la compétence dont nous avons besoin dans tous les domaines. Par rapport au Niger, nous avons voulu voir si, dans les pays africains, il existe également une diaspora qui pourrait avoir des compétences", selon les explications d'Aldongar Valencia, directrice adjointe des tchadiens de la diaspora, au ministère des Affaires étrangères.
Le ministère qui souhaite l'implication de la diaspora, a demandé aux autorités, à la société civile et à toute personne concernée par les thématiques, à se joindre à l'initiative.
"Aucun mécanisme de nature à faciliter l'exploitation des compétences de la diaspora ne sera négligé. Je voudrais saisir cette occasion pour vous rassurer que la garantie d'investissements au profit de la diaspora est bien d'autres facilités sont en réflexion. A ce sujet, les suggestions et réflexions venant de la diaspora seront les bienvenus", a souligné le directeur des tchadiens de l'étranger au ministère des Affaires étrangères, Madou Faitchou Sangheu.
A l'issue des travaux, les participants ont recommandé au Gouvernement de manifester une forte volonté politique, de prendre un engagement financier, et de formaliser les accords avec ses partenaires pour la mise en oeuvre des projets proposés. Le Gouvernement et les partenaires sont invités à prioriser les retours temporaires, engager la diaspora dans la recherche des lieux de stages pour les fonctionnaires et assurer la formation des formateurs.
"Nous souhaitons que le projet qui existe entre l'OIM et l'Etat, qui est dans sa deuxième phase de réalisation, puisse tendre vers la troisième phase", a déclaré Dr. Ousmane Houzibé, acteur de la diaspora tchadienne en France.
Des visites de terrain dans des structures universitaires et des centres sociaux pourraient prochainement être organisées.
L'atelier qui s'est tenu pendant trois jours, du 12 au 14 mars, dans le cadre du projet intitulé "Diaspora", a permis aux participants d'examiner le répertoire de la diaspora de la France et du Niger, d'élaborer une cartographie des tchadiens des deux pays et de mettre en oeuvre une politique nationale d'implication et d'autonomisation de la diaspora dans le processus de développement du Tchad.
"Si le choix a été porté sur la France et le Niger, ce n'est pas parcequ'ils sont plus importants que d'autres diaspora, mais c'est juste un échantillon que nous avons bien voulu choisir pour l'expérimentation. Par rapport à la diaspora de la France, ce pays a déjà un répertoire de compétence qui est déjà mis sur pied et permet d'avoir la compétence dont nous avons besoin dans tous les domaines. Par rapport au Niger, nous avons voulu voir si, dans les pays africains, il existe également une diaspora qui pourrait avoir des compétences", selon les explications d'Aldongar Valencia, directrice adjointe des tchadiens de la diaspora, au ministère des Affaires étrangères.
Le ministère qui souhaite l'implication de la diaspora, a demandé aux autorités, à la société civile et à toute personne concernée par les thématiques, à se joindre à l'initiative.
"Aucun mécanisme de nature à faciliter l'exploitation des compétences de la diaspora ne sera négligé. Je voudrais saisir cette occasion pour vous rassurer que la garantie d'investissements au profit de la diaspora est bien d'autres facilités sont en réflexion. A ce sujet, les suggestions et réflexions venant de la diaspora seront les bienvenus", a souligné le directeur des tchadiens de l'étranger au ministère des Affaires étrangères, Madou Faitchou Sangheu.
A l'issue des travaux, les participants ont recommandé au Gouvernement de manifester une forte volonté politique, de prendre un engagement financier, et de formaliser les accords avec ses partenaires pour la mise en oeuvre des projets proposés. Le Gouvernement et les partenaires sont invités à prioriser les retours temporaires, engager la diaspora dans la recherche des lieux de stages pour les fonctionnaires et assurer la formation des formateurs.
"Nous souhaitons que le projet qui existe entre l'OIM et l'Etat, qui est dans sa deuxième phase de réalisation, puisse tendre vers la troisième phase", a déclaré Dr. Ousmane Houzibé, acteur de la diaspora tchadienne en France.
Des visites de terrain dans des structures universitaires et des centres sociaux pourraient prochainement être organisées.