Lors d’une conférence de presse tenue au siège du Parti Réformiste (PR) ce 22 avril 2025, le président du parti, Yacine Abdramane Sakine, a dressé un bilan critique de la transition politique au Tchad, tout en réaffirmant l'engagement de sa formation aux côtés du peuple tchadien.
Dans un discours à la tonalité offensive, il a dénoncé les dérives du pouvoir actuel, et appelé à une mobilisation nationale contre les injustices. Le chef du PR a salué les consultations nationales qui, selon lui, ont permis aux acteurs politiques civils et militaires de dépasser leurs clivages pour œuvrer ensemble au retour à l’ordre constitutionnel.
Ces concertations, a-t-il insisté, ont abouti à la tenue d’élections à tous les niveaux, présidentielles, législatives, communales, provinciales et sénatoriales, qui, bien que « mal organisées », ont marqué la fin de la transition. Yacine Abdramane Sakine a exprimé sa gratitude à l’ensemble de la classe politique, pour sa participation active à ces échéances, tout en déplorant que certains tentent de s’en attribuer seuls les mérites.
« C’est grâce à notre engagement que des progrès ont été enregistrés, même si d’autres s’en glorifient aujourd’hui », a-t-il lancé. Le PR, dit-il, a joué un rôle déterminant dans la consolidation de la paix et la préservation des acquis républicains pendant la transition.
Il a rappelé que son parti est resté fidèle à ses principes, et à sa position aux côtés du peuple, dénonçant avec constance les injustices, le clanisme, le népotisme et la mauvaise gouvernance. Dans un ton particulièrement critique à l’égard du Mouvement Patriotique du Salut (MPS), parti au pouvoir, le président du PR a rejeté l’idée selon laquelle il n’existerait plus d’opposition au Tchad.
« Même si tous les anciens partis politiques se sont ralliés à la majorité, le PR a assumé seul sa responsabilité devant l’histoire », a-t-il déclaré. Il a également fustigé les propos récents de certains cadres du MPS qui affirment que leur parti est désormais seul à contrôler l’échiquier politique national. Yacine Abdramane Sakine a interpellé les Tchadiens de toutes les régions à « se réveiller de leur sommeil », et à dire « non » à la dictature et à la misère.
Il a dénoncé une gouvernance basée sur la discrimination, l’exclusion et le pillage des ressources nationales. « Le moment est venu pour dire haut et fort : ça suffit ! », a-t-il martelé, accusant le régime de Mahamat Idriss Deby de n’avoir aucun projet pour sortir le pays de la crise.
Le président du Parti Réformiste a appelé à l’unité nationale et à la résistance citoyenne pour faire barrage au régime en place. « Pour la paix et le développement durable du Tchad, ce régime corrompu doit quitter le pouvoir, et il va quitter », a-t-il assuré, avant de conclure par un vibrant appel à l’engagement et à la vigilance des militants et sympathisants.
Dans un discours à la tonalité offensive, il a dénoncé les dérives du pouvoir actuel, et appelé à une mobilisation nationale contre les injustices. Le chef du PR a salué les consultations nationales qui, selon lui, ont permis aux acteurs politiques civils et militaires de dépasser leurs clivages pour œuvrer ensemble au retour à l’ordre constitutionnel.
Ces concertations, a-t-il insisté, ont abouti à la tenue d’élections à tous les niveaux, présidentielles, législatives, communales, provinciales et sénatoriales, qui, bien que « mal organisées », ont marqué la fin de la transition. Yacine Abdramane Sakine a exprimé sa gratitude à l’ensemble de la classe politique, pour sa participation active à ces échéances, tout en déplorant que certains tentent de s’en attribuer seuls les mérites.
« C’est grâce à notre engagement que des progrès ont été enregistrés, même si d’autres s’en glorifient aujourd’hui », a-t-il lancé. Le PR, dit-il, a joué un rôle déterminant dans la consolidation de la paix et la préservation des acquis républicains pendant la transition.
Il a rappelé que son parti est resté fidèle à ses principes, et à sa position aux côtés du peuple, dénonçant avec constance les injustices, le clanisme, le népotisme et la mauvaise gouvernance. Dans un ton particulièrement critique à l’égard du Mouvement Patriotique du Salut (MPS), parti au pouvoir, le président du PR a rejeté l’idée selon laquelle il n’existerait plus d’opposition au Tchad.
« Même si tous les anciens partis politiques se sont ralliés à la majorité, le PR a assumé seul sa responsabilité devant l’histoire », a-t-il déclaré. Il a également fustigé les propos récents de certains cadres du MPS qui affirment que leur parti est désormais seul à contrôler l’échiquier politique national. Yacine Abdramane Sakine a interpellé les Tchadiens de toutes les régions à « se réveiller de leur sommeil », et à dire « non » à la dictature et à la misère.
Il a dénoncé une gouvernance basée sur la discrimination, l’exclusion et le pillage des ressources nationales. « Le moment est venu pour dire haut et fort : ça suffit ! », a-t-il martelé, accusant le régime de Mahamat Idriss Deby de n’avoir aucun projet pour sortir le pays de la crise.
Le président du Parti Réformiste a appelé à l’unité nationale et à la résistance citoyenne pour faire barrage au régime en place. « Pour la paix et le développement durable du Tchad, ce régime corrompu doit quitter le pouvoir, et il va quitter », a-t-il assuré, avant de conclure par un vibrant appel à l’engagement et à la vigilance des militants et sympathisants.