L'âge précoce de la survenue de la cirrhose et du cancer du foie liés à l'hépatite B se situe entre 20-40 ans en Afrique et au Tchad en particulier. Il y a une prépondérance de la transmission de la mère à l'enfant et durant l'enfance, explique Janserbe Faly, représentant du ministre de la Santé publique et de la Solidarité nationale.
La prévalence est assez basse à l'âge d'un an et s'accroît progressivement par la suite pour atteindre son pic de 7 à 14 ans.
Le gouvernement tchadien a déjà pris quelques dispositions : l'introduction de la vaccination contre l'hépatite B à tous les nouveau-nés depuis juin 2008 ; la préparation d'une prochaine introduction d'une première dose à la naissance pour plus d'efficacité et l'intégration des activités de lutte contre les hépatites dans le Programme de lutte contre le VIH Sida. La population est donc invitée à se faire dépister.
Pour le représentant de l'OMS au Tchad, Dr. Jean-Bosco Ndihokubwayo, l'engagement du gouvernement tchadien appuyé par des financements est une occasion en or d'aller vers l'élimination de l'hépatite virale.
"Le moment est venu de saisir l'occasion d'intensifier les efforts, d'officialiser le financement et d'attirer l'attention nationale et internationale car les objectifs de 2030 sont un défi mais restent à portée de main", indique Dr. Jean-Bosco Ndihokubwayo.
La prévalence est assez basse à l'âge d'un an et s'accroît progressivement par la suite pour atteindre son pic de 7 à 14 ans.
Le gouvernement tchadien a déjà pris quelques dispositions : l'introduction de la vaccination contre l'hépatite B à tous les nouveau-nés depuis juin 2008 ; la préparation d'une prochaine introduction d'une première dose à la naissance pour plus d'efficacité et l'intégration des activités de lutte contre les hépatites dans le Programme de lutte contre le VIH Sida. La population est donc invitée à se faire dépister.
Pour le représentant de l'OMS au Tchad, Dr. Jean-Bosco Ndihokubwayo, l'engagement du gouvernement tchadien appuyé par des financements est une occasion en or d'aller vers l'élimination de l'hépatite virale.
"Le moment est venu de saisir l'occasion d'intensifier les efforts, d'officialiser le financement et d'attirer l'attention nationale et internationale car les objectifs de 2030 sont un défi mais restent à portée de main", indique Dr. Jean-Bosco Ndihokubwayo.