Ce 18 août 2021, à l'hôtel Ledger Plazza, le gouvernement du Tchad, à travers le ministère du Développement agricole, le G5 sahel plus le Sénégal, en partenariat avec les trois agences onusiennes de Rome (FAO, PAM et FIDA), a organisé un atelier de lancement officiel du programme conjoint Sahel, en réponse aux défis Covid-19, conflits et changement climatique (SD3C) au Tchad. L'objectif du programme est de renforcer de manière durable, la résilience des populations rurales les plus vulnérables de la région du Sahel, afin d'atténuer les effets de la crise du Covid-19, des conflits et du changement climatique.
L'atelier de lancement a regroupé les parties prenantes du programme SD3C, constituées des cadres des ministères sectoriels impliqués dans le suivi et la mise en œuvre de la société civile, des partenaires techniques et financiers, des agences du système des Nations-Unies et des acteurs chargés de la mise en œuvre. Selon la ministre du Développement agricole, Mme Kamougué Dene-Assoum, « le programme SD3C s'insère dans la mise en œuvre du plan national du développement du Tchad, aussi bien que dans les stratégies sectorielles en matière du développement de l'agriculteur, de l'élevage de la résilience contre le changement climatique et du plan national de contingence pour la préparation et la riposte à l'épidémie de la maladie à coronavirus ». Mme Kamougué pense que la collaboration de la FAO, du PAM et du FIDA en matière de développement agricole et sécurité alimentaire permettra l'atteinte des objectifs escomptés du programme SD3C.
Pour le représentant de la FAO, Serge Tissot, les trois agences des Nations-Unies basées à Rome (FAO, PAM et FIDA) ont compris qu'il faut innover dans leur stratégie d'intervention et étendre leur champ d'actions communs, pour impulser une croissance durable par l'agriculture paysanne, soutenir des politiques et des investissements susceptibles de favoriser un développement durable sur les plans économiques, sociaux et environnementaux. Les pays du G5 Sahel et le Sénégal bénéficient à travers ce programme, d'un financement de plus de 100 milliards de FCFA du FIDA et du fonds vert climat pour la mise en œuvre de SD3C en deux phases de trois ans chacune.
Le coût du programme au Tchad est de 15 milliards de FCFA et il touchera 11 000 agropastoraux, soit environ 66 000 personnes dont 50% de femmes et 40% des jeunes. Il mettra en œuvre trois composantes complémentaires : augmentation de la productivité et de la production ; intégration économique ; dialogue politique, coordination et gestion. Il faut noter que l'exécution opérationnelle de ce programme sera assurée par la FAO et PAM, sous la coordination du projet de renforcement de la productivité des exploitations agropastorales familiales et résilience (RePER).
L'atelier de lancement a regroupé les parties prenantes du programme SD3C, constituées des cadres des ministères sectoriels impliqués dans le suivi et la mise en œuvre de la société civile, des partenaires techniques et financiers, des agences du système des Nations-Unies et des acteurs chargés de la mise en œuvre. Selon la ministre du Développement agricole, Mme Kamougué Dene-Assoum, « le programme SD3C s'insère dans la mise en œuvre du plan national du développement du Tchad, aussi bien que dans les stratégies sectorielles en matière du développement de l'agriculteur, de l'élevage de la résilience contre le changement climatique et du plan national de contingence pour la préparation et la riposte à l'épidémie de la maladie à coronavirus ». Mme Kamougué pense que la collaboration de la FAO, du PAM et du FIDA en matière de développement agricole et sécurité alimentaire permettra l'atteinte des objectifs escomptés du programme SD3C.
Pour le représentant de la FAO, Serge Tissot, les trois agences des Nations-Unies basées à Rome (FAO, PAM et FIDA) ont compris qu'il faut innover dans leur stratégie d'intervention et étendre leur champ d'actions communs, pour impulser une croissance durable par l'agriculture paysanne, soutenir des politiques et des investissements susceptibles de favoriser un développement durable sur les plans économiques, sociaux et environnementaux. Les pays du G5 Sahel et le Sénégal bénéficient à travers ce programme, d'un financement de plus de 100 milliards de FCFA du FIDA et du fonds vert climat pour la mise en œuvre de SD3C en deux phases de trois ans chacune.
Le coût du programme au Tchad est de 15 milliards de FCFA et il touchera 11 000 agropastoraux, soit environ 66 000 personnes dont 50% de femmes et 40% des jeunes. Il mettra en œuvre trois composantes complémentaires : augmentation de la productivité et de la production ; intégration économique ; dialogue politique, coordination et gestion. Il faut noter que l'exécution opérationnelle de ce programme sera assurée par la FAO et PAM, sous la coordination du projet de renforcement de la productivité des exploitations agropastorales familiales et résilience (RePER).