Selon Rodrigue Tendjibaye, le CMT a atteint le paroxysme de l'incapacité sur le plan sécuritaire, administratif et socio-politique. Le trésor public se vide sans qu'on ne sache la direction que prennent les billets de banque. "Pourquoi seulement une seule couche de la population est traduite en justice sans que d'autres ne puissent s'en inquiéter ?", se demande ainsi le collectif. "Il convient de dire qu'il y a vacance du pouvoir au sommet de I'État", ajoute-t-il.
"Il est évident que la transition tire à sa fin (...) nous exhortons le gouvernement à plier bagage s'il n'est pas en mesure de dire au peuple par quelle alchimie I'argent s'est évaporé et traduire les auteurs en justice", estime Rodrigue Tendjibaye. À ses yeux, la réconciliation ne doit pas se faire dans l'impunité.
Évoquant le pré-dialogue de Doha, il dénonce un théâtre qui montre à suffisance le schéma des prochaines assises du 20 août 2022. "Nous avons encore trois mois pour réparer les erreurs du passé, alors le Tchad d'abord", conclut-il.
"Il est évident que la transition tire à sa fin (...) nous exhortons le gouvernement à plier bagage s'il n'est pas en mesure de dire au peuple par quelle alchimie I'argent s'est évaporé et traduire les auteurs en justice", estime Rodrigue Tendjibaye. À ses yeux, la réconciliation ne doit pas se faire dans l'impunité.
Évoquant le pré-dialogue de Doha, il dénonce un théâtre qui montre à suffisance le schéma des prochaines assises du 20 août 2022. "Nous avons encore trois mois pour réparer les erreurs du passé, alors le Tchad d'abord", conclut-il.