Une chambre de l'hôpital de Farcha à N'Djamena. Illustration © Alwihda Info
Depuis janvier jusqu'au 13 septembre 2020, 571.258 cas de paludisme ont été confirmés (60,5 %), avec 1 280 décès dans tout le pays, sur les 943 040 tests effectués, selon les données du Comité national pour le contrôle des épidémies (CTNLE).
En plus de ces chiffres, il y a près de 1.140.000 cas suspects basés sur des symptômes cliniques mais qui n'ont pas été testés. Parmi ces cas suspects, 1.368 personnes sont décédées.
Mercredi, le ministre de la Santé publique et de la Solidarité nationale, Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul, a rencontré les responsables des hôpitaux nationaux de N'Djamena, face au pic des cas du paludisme.
Selon les rapports des différents directeurs des hôpitaux nationaux, leurs formations sanitaires sont débordées par une affluence des malades. L’une des causes de l’affluence des malades dans les services des hôpitaux nationaux de la ville de N'Djamena est que la plupart des malades ne se rendent pas dans les centres de santé qui sont censés traiter les cas simples.
Ce sont les cas compliqués qui doivent être orientés dans les grandes formations sanitaires. La prévalence de cette année est plus élevée que l’année dernière. Cela est dû à la forte pluviométrie qu’enregistre le pays. Au centre hospitalier universitaire de la mère et enfant, pour l’année en cours 3249 cas du paludisme dont 968 cas grave et 144 décès sont enregistrés.
Le paludisme est l’une des premières causes de consultations et d’hospitalisation dans les structures sanitaires du pays. La lutte contre le paludisme ne se résume pas seulement à la distribution des moustiquaires imprégnées d’insecticides de longue durée. Il est préférable de revoir d’autres stratégies plus efficaces pour faire face à cette maladie, indique Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul.
Le ministre a instruit le coordonnateur du programme national de lutte contre le paludisme de faire actualiser l’ancien plan de lutte pour circonscrire la maladie. Il a insisté sur la communication et la sensibilisation à travers les canaux indiqués pour faire passer le message de conscientisation.
En plus de ces chiffres, il y a près de 1.140.000 cas suspects basés sur des symptômes cliniques mais qui n'ont pas été testés. Parmi ces cas suspects, 1.368 personnes sont décédées.
Mercredi, le ministre de la Santé publique et de la Solidarité nationale, Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul, a rencontré les responsables des hôpitaux nationaux de N'Djamena, face au pic des cas du paludisme.
Selon les rapports des différents directeurs des hôpitaux nationaux, leurs formations sanitaires sont débordées par une affluence des malades. L’une des causes de l’affluence des malades dans les services des hôpitaux nationaux de la ville de N'Djamena est que la plupart des malades ne se rendent pas dans les centres de santé qui sont censés traiter les cas simples.
Ce sont les cas compliqués qui doivent être orientés dans les grandes formations sanitaires. La prévalence de cette année est plus élevée que l’année dernière. Cela est dû à la forte pluviométrie qu’enregistre le pays. Au centre hospitalier universitaire de la mère et enfant, pour l’année en cours 3249 cas du paludisme dont 968 cas grave et 144 décès sont enregistrés.
Le paludisme est l’une des premières causes de consultations et d’hospitalisation dans les structures sanitaires du pays. La lutte contre le paludisme ne se résume pas seulement à la distribution des moustiquaires imprégnées d’insecticides de longue durée. Il est préférable de revoir d’autres stratégies plus efficaces pour faire face à cette maladie, indique Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul.
Le ministre a instruit le coordonnateur du programme national de lutte contre le paludisme de faire actualiser l’ancien plan de lutte pour circonscrire la maladie. Il a insisté sur la communication et la sensibilisation à travers les canaux indiqués pour faire passer le message de conscientisation.