Conscient des enjeux du développement durable et soucieux d’assurer le bien-être de sa population, le gouvernement tchadien a élaboré en 2017 la « Vision 2030, le Tchad que nous voulons », déclinée en trois plans nationaux de développement dont le PND 2017-2021 en cours d’exécution. Cette vision cadre parfaitement avec l’Agenda 2030 et constitue pour le pays, une référence et un outil opérationnel pour la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) et de l’Agenda 2063 de l’Union africaine.
Aussi, le Forum Politique de Haut Niveau (FPHN) sur le développement durable 2021 offre l’opportunité de partager avec les autres nations, les enjeux et les défis du développement durable. Cet exercice offre l’occasion à toutes les parties prenantes nationales, notamment le parlement, les ministères sectoriels, les organisations de la société civile, le secteur privé, les institutions universitaires et de recherche scientifique, l’Institut de la Statistique et des Etudes Economiques et Démographiques (INSEED), ainsi que les partenaires techniques et financiers, de faire l’état des lieux de la mise en œuvre des ODD, de discuter des enjeux de développement ainsi que des questions d’évaluation.
Cependant, trois ans après l’adoption de l’Agenda 2030, le Tchad, dans son Examen National Volontaire (ENV) de 2019, a fait la situation de référence des cibles et indicateurs et identifié les problèmes de développement. En s’engageant pour la seconde fois en 2021, dans un contexte d’insécurité et de la pandémie du Covid–19, il a jugé utile de mettre en exergue les efforts déployés par le gouvernement après 2019. A titre illustratif, en matière de santé et du bien-être, le gouvernement a fait des efforts en améliorant les infrastructures hospitalières, en formant des médecins et de sages-femmes.
Cela a contribué à l’amélioration de l’accès à la santé de la population (47,2% des femmes en 2019 ont été assistées par un personnel qualifié contre 24,3% en 2015). On constate aussi une baisse en termes de taux de fécondité des adolescentes qui est passé de 179 ‰ à 138 ‰ entre 2015 et 2019. Par ailleurs, les questions de développement restent entières et interpellent le Gouvernement et ses partenaires. Aussi, faut-il déplorer la persistance de la pauvreté avec un accès limité aux services sociaux de base.
Il faut également noter que la conjoncture économique actuelle peu reluisante doublée de la pandémie de la Covid-19 limite fortement les marges de manœuvre du Tchad et ses partenaires en matière de développement. Enfin, pour améliorer le financement des ODD, le Tchad a engagé la réforme des finances publiques pour optimiser les recettes publiques ainsi que celle de l’appareil statistique afin de disposer des données de qualité et à jour.
Aussi, le Forum Politique de Haut Niveau (FPHN) sur le développement durable 2021 offre l’opportunité de partager avec les autres nations, les enjeux et les défis du développement durable. Cet exercice offre l’occasion à toutes les parties prenantes nationales, notamment le parlement, les ministères sectoriels, les organisations de la société civile, le secteur privé, les institutions universitaires et de recherche scientifique, l’Institut de la Statistique et des Etudes Economiques et Démographiques (INSEED), ainsi que les partenaires techniques et financiers, de faire l’état des lieux de la mise en œuvre des ODD, de discuter des enjeux de développement ainsi que des questions d’évaluation.
Cependant, trois ans après l’adoption de l’Agenda 2030, le Tchad, dans son Examen National Volontaire (ENV) de 2019, a fait la situation de référence des cibles et indicateurs et identifié les problèmes de développement. En s’engageant pour la seconde fois en 2021, dans un contexte d’insécurité et de la pandémie du Covid–19, il a jugé utile de mettre en exergue les efforts déployés par le gouvernement après 2019. A titre illustratif, en matière de santé et du bien-être, le gouvernement a fait des efforts en améliorant les infrastructures hospitalières, en formant des médecins et de sages-femmes.
Cela a contribué à l’amélioration de l’accès à la santé de la population (47,2% des femmes en 2019 ont été assistées par un personnel qualifié contre 24,3% en 2015). On constate aussi une baisse en termes de taux de fécondité des adolescentes qui est passé de 179 ‰ à 138 ‰ entre 2015 et 2019. Par ailleurs, les questions de développement restent entières et interpellent le Gouvernement et ses partenaires. Aussi, faut-il déplorer la persistance de la pauvreté avec un accès limité aux services sociaux de base.
Il faut également noter que la conjoncture économique actuelle peu reluisante doublée de la pandémie de la Covid-19 limite fortement les marges de manœuvre du Tchad et ses partenaires en matière de développement. Enfin, pour améliorer le financement des ODD, le Tchad a engagé la réforme des finances publiques pour optimiser les recettes publiques ainsi que celle de l’appareil statistique afin de disposer des données de qualité et à jour.