Le délégué général du gouvernement auprès de la commune de N'Djamena, Mahamat Zene Alhadj Yaya, a annoncé lundi des "décisions" pour "restaurer l'autorité de l'État" au marché Champ de Fil de la capitale.
Il s'est exprimé lors d'un déplacement au marché situé dans le 5ème arrondissement, en présence du maire de N'Djamena, Oumar Boukar et la maire du 5ème arrondissement, Fatimé Ahmat Mahamat.
Mahamat Zene Alhadj Yaya a dénoncé des occupations anarchiques et a expliqué que "normalement, on ne peut pas habiter dans cette zone."
"Toutes les mesures sécuritaires seront prises pour que la situation soit rétablie, que les gens soient dégagés, et que cet espace revienne à l'usage pour lequel il a été laissé", a-t-il indiqué.
"Ce qui est sûr, on n'a pas loti ça pour que les gens puissent y habiter. On n'a pas autorisé à ce que ces activités qui se passent aujourd'hui soient réalisées ici. Ça c'est des dispositions que nous allons prendre dans les meilleurs délais avant de réouvrir le marché", a souligné Mahamat Zene Alhadj Yaya.
"Des activités illicites comme la vente de drogue et les menaces sécuritaires"
"La décision que nous avons prise c'est de restaurer l'autorité de l'État. On ne peut pas squatter n'importe où, et rester n'importe comment. Ça a donné lieu à des activités illicites comme la vente de drogue et puis toutes les menaces sécuritaires qu'on pourrait constater", selon le délégué général du gouvernement auprès de la commune de N'Djamena.
Au cours de la descente, plusieurs personnes suspectées de consommation et trafic de drogue ont été interpellées par les forces de l'ordre.
Peu après la descente, le maire de N'Djamena, Oumar Boukar, a informé dans un communiqué, les garagistes, mécaniciens, les propriétaires des maisons de fortune, les commerçants "qui occupent anarchiquement et exercent illégalement des activités aux abords de la route du côté Est du marché Champ de fil, Gredia, de libérer immédiatement les lieux."
Des opérations de déguerpissement ont été entamées mardi matin aux abords du marché.
Le marché de Champ de fil est fermé depuis plusieurs jours pour des raisons sécuritaires.
Il s'est exprimé lors d'un déplacement au marché situé dans le 5ème arrondissement, en présence du maire de N'Djamena, Oumar Boukar et la maire du 5ème arrondissement, Fatimé Ahmat Mahamat.
Mahamat Zene Alhadj Yaya a dénoncé des occupations anarchiques et a expliqué que "normalement, on ne peut pas habiter dans cette zone."
"Toutes les mesures sécuritaires seront prises pour que la situation soit rétablie, que les gens soient dégagés, et que cet espace revienne à l'usage pour lequel il a été laissé", a-t-il indiqué.
"Ce qui est sûr, on n'a pas loti ça pour que les gens puissent y habiter. On n'a pas autorisé à ce que ces activités qui se passent aujourd'hui soient réalisées ici. Ça c'est des dispositions que nous allons prendre dans les meilleurs délais avant de réouvrir le marché", a souligné Mahamat Zene Alhadj Yaya.
"Des activités illicites comme la vente de drogue et les menaces sécuritaires"
"La décision que nous avons prise c'est de restaurer l'autorité de l'État. On ne peut pas squatter n'importe où, et rester n'importe comment. Ça a donné lieu à des activités illicites comme la vente de drogue et puis toutes les menaces sécuritaires qu'on pourrait constater", selon le délégué général du gouvernement auprès de la commune de N'Djamena.
Au cours de la descente, plusieurs personnes suspectées de consommation et trafic de drogue ont été interpellées par les forces de l'ordre.
Peu après la descente, le maire de N'Djamena, Oumar Boukar, a informé dans un communiqué, les garagistes, mécaniciens, les propriétaires des maisons de fortune, les commerçants "qui occupent anarchiquement et exercent illégalement des activités aux abords de la route du côté Est du marché Champ de fil, Gredia, de libérer immédiatement les lieux."
Des opérations de déguerpissement ont été entamées mardi matin aux abords du marché.
Le marché de Champ de fil est fermé depuis plusieurs jours pour des raisons sécuritaires.