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Tchad : les enjeux et défis de la transition au centre d'une réflexion du GRAC
Le Groupe de réflexion sur l'avenir et la construction du Tchad (GRAC-Tchad) a présenté mardi ses conclusions sur "les enjeux et les défis à relever pour le Conseil militaire de transition (CMT) et la société civile pour une transition démocratique apaisée au Tchad". Il rappelle que la société civile plaide pour la non confiscation du pouvoir par l'armée et l'organisation d'une élection libre, transparente et sans conflit post-électoral.
Pour Ahmat Haroun Larry, président du GRAC-Tchad, l'armée tchadienne fait face à deux défis contemporains : la mise en oeuvre effective de la Charte de transition et la consolidation de la paix et de la sécurité. Il ressort des réflexions du GRAC que l'armée est dans son rôle régalien de remettre le pays sur les rails, en tant que garant de la paix et de la sécurité mais aussi de défendre les intérêts stratégiques et vitaux du peuple tchadien.
Le document retrace l'origine et l'évolution de l'armée tchadienne, son rôle, la prise de pouvoir par les militaires, la place de l'armée dans le processus démocratique au Tchad, la politique de défense sous le président Idriss Deby Itno, l'engagement régional de l'armée, le lien entre l'armée et les gouvernants ainsi que les enjeux pour le CMT.
Le GRAC juge nécessaire de doter l'armée de formations du personnel et d'équipements afin d'accroitre ses capacités opérationnelles objectives. Il met en avant trois piliers : le rajeunissement du personnel, la professionnalisation et la modernisation de l'outil de défense. Au plan régional, le GRAC estime que la consolidation du rôle de puissance du Tchad est un défi.
Le GRAC affirme que "pour la majorité des acteurs et organisations de la société civile, accompagner le CMT devient un impératif à cause du contexte sécuritaire sur le plan national et régional mais aussi à cause du vide juridique après la disparition brusque du président Idriss Deby Itno". Il déplore que "certains acteurs cherchent à tous prix à conquérir le pouvoir même s'il faut s'allier avec le diable".
Pour Ahmat Haroun Larry, président du GRAC-Tchad, l'armée tchadienne fait face à deux défis contemporains : la mise en oeuvre effective de la Charte de transition et la consolidation de la paix et de la sécurité. Il ressort des réflexions du GRAC que l'armée est dans son rôle régalien de remettre le pays sur les rails, en tant que garant de la paix et de la sécurité mais aussi de défendre les intérêts stratégiques et vitaux du peuple tchadien.
Le document retrace l'origine et l'évolution de l'armée tchadienne, son rôle, la prise de pouvoir par les militaires, la place de l'armée dans le processus démocratique au Tchad, la politique de défense sous le président Idriss Deby Itno, l'engagement régional de l'armée, le lien entre l'armée et les gouvernants ainsi que les enjeux pour le CMT.
Le GRAC juge nécessaire de doter l'armée de formations du personnel et d'équipements afin d'accroitre ses capacités opérationnelles objectives. Il met en avant trois piliers : le rajeunissement du personnel, la professionnalisation et la modernisation de l'outil de défense. Au plan régional, le GRAC estime que la consolidation du rôle de puissance du Tchad est un défi.
Le GRAC affirme que "pour la majorité des acteurs et organisations de la société civile, accompagner le CMT devient un impératif à cause du contexte sécuritaire sur le plan national et régional mais aussi à cause du vide juridique après la disparition brusque du président Idriss Deby Itno". Il déplore que "certains acteurs cherchent à tous prix à conquérir le pouvoir même s'il faut s'allier avec le diable".
