L’ANUT, à travers son programme de préservation de la paix au Tchad, a organisé une conférence-débat sous le thème de l’implication des jeunes pour la préservation de la paix au Tchad, ce vendredi 9 juillet à son siège. Plusieurs femmes ont été invitées à prendre part à cette conférence, notamment les leaders des associations et groupements féminins.
Pour rappel, le programme de préservation de la paix au Tchad a été lancé en mai dernier à l’Université HEC Tchad. À travers ce programme, l’ANUT organise des rencontres avec des femmes leaders des associations et groupements féminins, les jeunes, les leaders religieux, ainsi que les chefs traditionnels pour parler de la délinquance juvénile, des mœurs et coutumes, des comportements des enfants, de leur éducation de base et du rôle de la femme dans la société.
Sur la question de la stratégie à mettre en place pour inculquer aux enfants l’esprit de la paix, Fatimé Abdoulaye, femme ménagère, affirme qu'à l’ancienne époque, la plupart des filles ne fréquentaient pas l’école mais elles étaient éduquées et bien gardées par leurs mamans. On leur apprenait à bien cuisiner dès le bas âge et à aider leurs mères dans toutes les tâches ménagères. La femme est la première responsable de l’éducation des enfants car c’est elle qui maîtrise la situation familiale du foyer, a soutenu une femme membre de l’ONG Al-Baraka.
Pour la présidente de l’association des femmes pour la paix et la sensibilisation au Tchad, Achta Adoum, la femme mène chaque jour une vie citoyenne dans sa famille. Au-delà de sa féminité, elle est conseillère de la famille, éducatrice et bergère des ses enfants. La vie n’est rien sans l’existence de la femme, ajoute-t-elle.
La présidente de l’association des femmes pour la paix et la sensibilisation au Tchad, Achta Adoum ajoute que toute personne aime la paix. Cette paix est comme l’œuf qui tremble dans les mains et personne ne veut qu’elle tombe car une œuf cassée est irréparable. « Je demande à nos enfants de revenir à l’ancien comportement car il est le signe de la paix et du vivre ensemble. Le Tchad a un atout considérable pour permettre à nos enfants de vivre ici. Je demande à l’État de favoriser la création des entreprises et de laisser les bailleurs investir pou éradiquer le chômage dans ce pays », a soulevé Achta Adoum.
Pour rappel, le programme de préservation de la paix au Tchad a été lancé en mai dernier à l’Université HEC Tchad. À travers ce programme, l’ANUT organise des rencontres avec des femmes leaders des associations et groupements féminins, les jeunes, les leaders religieux, ainsi que les chefs traditionnels pour parler de la délinquance juvénile, des mœurs et coutumes, des comportements des enfants, de leur éducation de base et du rôle de la femme dans la société.
Sur la question de la stratégie à mettre en place pour inculquer aux enfants l’esprit de la paix, Fatimé Abdoulaye, femme ménagère, affirme qu'à l’ancienne époque, la plupart des filles ne fréquentaient pas l’école mais elles étaient éduquées et bien gardées par leurs mamans. On leur apprenait à bien cuisiner dès le bas âge et à aider leurs mères dans toutes les tâches ménagères. La femme est la première responsable de l’éducation des enfants car c’est elle qui maîtrise la situation familiale du foyer, a soutenu une femme membre de l’ONG Al-Baraka.
Pour la présidente de l’association des femmes pour la paix et la sensibilisation au Tchad, Achta Adoum, la femme mène chaque jour une vie citoyenne dans sa famille. Au-delà de sa féminité, elle est conseillère de la famille, éducatrice et bergère des ses enfants. La vie n’est rien sans l’existence de la femme, ajoute-t-elle.
La présidente de l’association des femmes pour la paix et la sensibilisation au Tchad, Achta Adoum ajoute que toute personne aime la paix. Cette paix est comme l’œuf qui tremble dans les mains et personne ne veut qu’elle tombe car une œuf cassée est irréparable. « Je demande à nos enfants de revenir à l’ancien comportement car il est le signe de la paix et du vivre ensemble. Le Tchad a un atout considérable pour permettre à nos enfants de vivre ici. Je demande à l’État de favoriser la création des entreprises et de laisser les bailleurs investir pou éradiquer le chômage dans ce pays », a soulevé Achta Adoum.
Pour que l’enfant soit pieux, bien éduqué, respectueux, endurant et courageux, Achta Adoum soutient qu’il faut que la maman l’allaite convenablement. Ce manque d’allaitement conduit l’enfant à la paresse et partant, il n’a aucun respect envers ses parents et bien d’autres personnes. Achta Adoum indique que la responsabilité de l’éducation des enfants doit être partagée par le père également, malgré les occupations, car la femme à elle seule ne peut pas tout faire. Elle reproche également aux femmes de nos jours, qui ont pris le téléphone pour leur idole, de passer leur temps sur Facebook et WhatsApp sans se focaliser sur l’éducation de leurs progénitures. "Il faut qu’elles cessent cette pratique néfaste et reviennent aux comportements de nos ancêtres mamans", a-t-elle souhaité.
Une autre intervenante du nom d'Aïcha relève que l’implication de la femme dans l’éducation des enfants et la culture de la paix est très important. Elle conseille aux femmes de prendre leurs responsabilités en cultivant l’amour de la paix à leurs enfants.
Prenant la parole à son tour, le président de l’ANUT, Mahamat Silim Moustapha, a quant à lui expliqué que la maman est la première responsable de l’éducation de sa progéniture. Parlant de la paix, Mahamat Silim Moustapha souligne que l’implication de la femme dans la préservation de la paix est très capitale. Il recommande à toutes les femmes d’être ambassadrices de la paix dans les couches sociales.
Une autre intervenante du nom d'Aïcha relève que l’implication de la femme dans l’éducation des enfants et la culture de la paix est très important. Elle conseille aux femmes de prendre leurs responsabilités en cultivant l’amour de la paix à leurs enfants.
Prenant la parole à son tour, le président de l’ANUT, Mahamat Silim Moustapha, a quant à lui expliqué que la maman est la première responsable de l’éducation de sa progéniture. Parlant de la paix, Mahamat Silim Moustapha souligne que l’implication de la femme dans la préservation de la paix est très capitale. Il recommande à toutes les femmes d’être ambassadrices de la paix dans les couches sociales.