Oumar Ali Fadoul se dit préoccupé par la situation actuelle ainsi que l'avenir à court et moyen terme de la SHT, dans la mesure où "la nouvelle équipe dirigeante hérite d'une situation guerre encourageante".
"La SHT est gérée de manière cloisonnée, un nombre pléthorique dont les nominations ne respectent nullement l'organigramme qui définit chaque poste de responsabilité et les critères pour l'occuper", affirme Oumar Ali Fadoul.
Selon lui, chaque nouvelle équipe a tendance à remplacer les directeurs techniques comme bon lui semble. À titre d'exemple, l'équipe sortante en venant a changé : le directeur des activités amont, le directeur commercial, le directeur des opérations de Sedigui ainsi que le conseiller économique et juridique. "Aucun des nouveaux directeurs ne répond au profil des postes qu'ils occupent", détaille Oumar Ali Fadoul, lui même ayant fait partie des cadres remplacés par l'ancienne équipe dirigeante (poste de directeur commercial adjoint).
Conséquence de ces changements intempestifs : "les décisions prises sont faites sous l'injonction du directeur général adjoint, le titulaire faisant office de faire valoir. Le manque d'autorité du directeur général donnait la latitude à son adjoint d'user, voire d'en abuser de son pouvoir comme bon lui semblait, au mépris des textes en vigueur".
Oumar Ali Fadoul évoque le cas d'un ancien directeur de la commercialisation du brut et du gaz qui avait été remplacé pour insubordination à la hiérarchie et faux et usage de faux. "Il avait très mal gobé son remplacement et emporta avec lui toutes les données, tout en prenant le soin de formater l'ordinateur fixe. Il a été promu directeur général adjoint un an plus tard et vous connaissez la suite de l'histoire", explique-t-il.
Pour l'ex-cadre de la SHT, les actes de la nouvelle équipe sont similaires car les profils ne répondent pas aux critères/qualifications des posts qu'ils occupent. "Le ridicule atteint son comble quand le nouveau directeur des activités avales voit sa nomination annulée pour la simple raison que la personne qu'il devrait remplacer est un intouchable", révèle-t-il.
Ces changements fréquents de l'équipe dirigeante avec des nominations qui n'obéissent pas aux règles en la matière entrainent pour la SHT des conséquences non négligeables : manque de vision à moyen et long terme, démotivation des cadres à la merci de la nouvelle équipe qui peut les remplacer sans aucun motif, une crédibilité/image impactée vis-à-vis des partenaires ; ou encore des coûts non négligeables sur le suivi des activités/projets/contrats/conventions avec les partenaires.
"Excellence Monsieur le président, je vous saurai gré de bien vouloir prendre les dispositions pour s'assurer de la capacité réelle de l'équipe dirigeante à gérer la SHT puis de revoir les nominations pour qu'elles soient conformes aux textes en vigueur, tel que recommandé par vous même (dans la directive relative) aux critères de compétence et de mérite", exhorte l'ingénieur Oumar Ali Fadoul.
"La SHT est gérée de manière cloisonnée, un nombre pléthorique dont les nominations ne respectent nullement l'organigramme qui définit chaque poste de responsabilité et les critères pour l'occuper", affirme Oumar Ali Fadoul.
Selon lui, chaque nouvelle équipe a tendance à remplacer les directeurs techniques comme bon lui semble. À titre d'exemple, l'équipe sortante en venant a changé : le directeur des activités amont, le directeur commercial, le directeur des opérations de Sedigui ainsi que le conseiller économique et juridique. "Aucun des nouveaux directeurs ne répond au profil des postes qu'ils occupent", détaille Oumar Ali Fadoul, lui même ayant fait partie des cadres remplacés par l'ancienne équipe dirigeante (poste de directeur commercial adjoint).
Conséquence de ces changements intempestifs : "les décisions prises sont faites sous l'injonction du directeur général adjoint, le titulaire faisant office de faire valoir. Le manque d'autorité du directeur général donnait la latitude à son adjoint d'user, voire d'en abuser de son pouvoir comme bon lui semblait, au mépris des textes en vigueur".
Oumar Ali Fadoul évoque le cas d'un ancien directeur de la commercialisation du brut et du gaz qui avait été remplacé pour insubordination à la hiérarchie et faux et usage de faux. "Il avait très mal gobé son remplacement et emporta avec lui toutes les données, tout en prenant le soin de formater l'ordinateur fixe. Il a été promu directeur général adjoint un an plus tard et vous connaissez la suite de l'histoire", explique-t-il.
Pour l'ex-cadre de la SHT, les actes de la nouvelle équipe sont similaires car les profils ne répondent pas aux critères/qualifications des posts qu'ils occupent. "Le ridicule atteint son comble quand le nouveau directeur des activités avales voit sa nomination annulée pour la simple raison que la personne qu'il devrait remplacer est un intouchable", révèle-t-il.
Ces changements fréquents de l'équipe dirigeante avec des nominations qui n'obéissent pas aux règles en la matière entrainent pour la SHT des conséquences non négligeables : manque de vision à moyen et long terme, démotivation des cadres à la merci de la nouvelle équipe qui peut les remplacer sans aucun motif, une crédibilité/image impactée vis-à-vis des partenaires ; ou encore des coûts non négligeables sur le suivi des activités/projets/contrats/conventions avec les partenaires.
"Excellence Monsieur le président, je vous saurai gré de bien vouloir prendre les dispositions pour s'assurer de la capacité réelle de l'équipe dirigeante à gérer la SHT puis de revoir les nominations pour qu'elles soient conformes aux textes en vigueur, tel que recommandé par vous même (dans la directive relative) aux critères de compétence et de mérite", exhorte l'ingénieur Oumar Ali Fadoul.