C’est la catastrophe ! Des odeurs nauséabondes, des eaux usées, des eaux stagnantes ci et là, la défécations à l’air libre ; ce sont les caractéristiques visibles du site de Walia. L’hygiène et l'assainissement sont pratiquement déplorables sur ce site.
Les enfants et les personnes âgées, vulnérables, sont exposés aux aléas de la nature et à toutes les maladies, constate Alwihda Info.
Dr. Tamber Justin, médecin au centre de sinistrés, précise qu’il enregistre plus de 300 cas de paludisme par semaine.
À cela, il ajoute que des problèmes d’infection respiratoire pulmonaire, d'infection respiratoire aiguë, de gastro-entérite et de gynécologie sont enregistrés.
Une « malnutrition chez les enfants », a été suspectée, précise-t-il.
Dans le même sillage, Innocent ouassing, président du comité santé « Baïdi », renchérit que dans leurs consultations quotidiennes, les cas de maladies rencontrées assez souvent sont entre autres les infections respiratoires aiguës, la diarrhée ainsi que le paludisme.
Les enfants et les personnes âgées, vulnérables, sont exposés aux aléas de la nature et à toutes les maladies, constate Alwihda Info.
Dr. Tamber Justin, médecin au centre de sinistrés, précise qu’il enregistre plus de 300 cas de paludisme par semaine.
À cela, il ajoute que des problèmes d’infection respiratoire pulmonaire, d'infection respiratoire aiguë, de gastro-entérite et de gynécologie sont enregistrés.
Une « malnutrition chez les enfants », a été suspectée, précise-t-il.
Dans le même sillage, Innocent ouassing, président du comité santé « Baïdi », renchérit que dans leurs consultations quotidiennes, les cas de maladies rencontrées assez souvent sont entre autres les infections respiratoires aiguës, la diarrhée ainsi que le paludisme.
Chaque samedi, une équipe d’hygiène et d'assainissement fait le ménage sur le site, rassure Innocent ouassing.
Toutefois, avec le manque d’hygiène et d'assainissement ou encore les défécations à l’air, Dr. Tamber "craint que cette année, il se peut qu’on ait l’épidémie de choléra sur ce site". "Il faut que le gouvernement fasse quelque chose", plaide-t-il.
Dr. Tamber relève que « si on investit, on peut diagnostiquer même le choléra. Parce qu’il y a de patients qui viennent avec les cas de diarrhée. Sauf qu’on est limité dans la prise en charge par rapport au manque de produits et matériels », déplore-t-il.
Selon l’équipe du ministère du Genre et de la Solidarité nationale, ce site accueille aujourd’hui plus de 15.000 sinistrés avec 3055 ménages.
Un aménagement du site avec des dispositions sanitaires s'avère prioritaire pour ne pas aggraver la situation des personnes vulnérables.
Toutefois, avec le manque d’hygiène et d'assainissement ou encore les défécations à l’air, Dr. Tamber "craint que cette année, il se peut qu’on ait l’épidémie de choléra sur ce site". "Il faut que le gouvernement fasse quelque chose", plaide-t-il.
Dr. Tamber relève que « si on investit, on peut diagnostiquer même le choléra. Parce qu’il y a de patients qui viennent avec les cas de diarrhée. Sauf qu’on est limité dans la prise en charge par rapport au manque de produits et matériels », déplore-t-il.
Selon l’équipe du ministère du Genre et de la Solidarité nationale, ce site accueille aujourd’hui plus de 15.000 sinistrés avec 3055 ménages.
Un aménagement du site avec des dispositions sanitaires s'avère prioritaire pour ne pas aggraver la situation des personnes vulnérables.