L'insécurité continue de se propager dans le pays, que cela soit accepté ou non. L'opération de désarmement, bien que largement médiatisée, semble ne pas remplir efficacement son rôle.
Il est donc temps de reconnaître que le traitement de ce sujet a été inadéquat. Comment en sommes-nous arrivés là, malgré la prétendue efficacité de l'opération de désarmement ? Les efforts actuels ne sont qu'une façade trompeuse pour la population tchadienne.
De plus, jusqu'à présent, les enquêtes n'ont pas révélé les véritables mobiles de la tuerie de Mont de Lam, dans le Logone Oriental. L'information officielle parle d'une attaque perpétrée par un groupe de bandits en provenance de Bangui, en Centrafrique.
Cependant, cette tuerie ne peut en aucun cas être qualifiée d'attaque de simples bandits. Les images horribles, circulant sur les réseaux sociaux, suscitent des interrogations profondes. Qui cherche à semer l'insécurité dans le sud du pays ? Comment peut-on si peu valoriser la vie humaine ?
Ces questions méritent une réponse claire de la part des autorités. Comme le dit un adage populaire, il n'y a pas de fumée sans feu. Par conséquent, nous pouvons penser qu'il y a des commanditaires derrière cette insécurité. Quoi qu'il en soit, tout projet visant à déstabiliser le Tchad est voué à l'échec en ce siècle.
Que nous le voulions ou non, cette situation d'insécurité sert les intérêts de certaines personnalités locales. Même si la rencontre du président de Transition, Mahamat Idriss Déby, avec les ressortissants du Logone Oriental, constitue un pas dans la bonne direction, nous ne pouvons pas étouffer ce massacre avec de simples discours et quelques billets d'argent.
L'opposition accuse les autorités de complicité dans cette insécurité. L'opposant Dr Masra Succès pointe du doigt la France. Cependant, dans le contexte où l'organisation d'un référendum constitutionnel se profile à l'horizon, cette situation d'insécurité risque de retarder les travaux de la commission et de changer les opinions.
Nous assistons déjà à des prises de position partisanes sur les réseaux sociaux, où certains journalistes jouent le rôle de « griots ». Quoi qu'il en soit, ceux qui cherchent par tous les moyens à semer le trouble dans le sud du pays doivent savoir qu'il ne faut pas jouer avec le feu.
Ceux qui ont des oreilles devraient prêter attention à ces avertissements.
Il est donc temps de reconnaître que le traitement de ce sujet a été inadéquat. Comment en sommes-nous arrivés là, malgré la prétendue efficacité de l'opération de désarmement ? Les efforts actuels ne sont qu'une façade trompeuse pour la population tchadienne.
De plus, jusqu'à présent, les enquêtes n'ont pas révélé les véritables mobiles de la tuerie de Mont de Lam, dans le Logone Oriental. L'information officielle parle d'une attaque perpétrée par un groupe de bandits en provenance de Bangui, en Centrafrique.
Cependant, cette tuerie ne peut en aucun cas être qualifiée d'attaque de simples bandits. Les images horribles, circulant sur les réseaux sociaux, suscitent des interrogations profondes. Qui cherche à semer l'insécurité dans le sud du pays ? Comment peut-on si peu valoriser la vie humaine ?
Ces questions méritent une réponse claire de la part des autorités. Comme le dit un adage populaire, il n'y a pas de fumée sans feu. Par conséquent, nous pouvons penser qu'il y a des commanditaires derrière cette insécurité. Quoi qu'il en soit, tout projet visant à déstabiliser le Tchad est voué à l'échec en ce siècle.
Que nous le voulions ou non, cette situation d'insécurité sert les intérêts de certaines personnalités locales. Même si la rencontre du président de Transition, Mahamat Idriss Déby, avec les ressortissants du Logone Oriental, constitue un pas dans la bonne direction, nous ne pouvons pas étouffer ce massacre avec de simples discours et quelques billets d'argent.
L'opposition accuse les autorités de complicité dans cette insécurité. L'opposant Dr Masra Succès pointe du doigt la France. Cependant, dans le contexte où l'organisation d'un référendum constitutionnel se profile à l'horizon, cette situation d'insécurité risque de retarder les travaux de la commission et de changer les opinions.
Nous assistons déjà à des prises de position partisanes sur les réseaux sociaux, où certains journalistes jouent le rôle de « griots ». Quoi qu'il en soit, ceux qui cherchent par tous les moyens à semer le trouble dans le sud du pays doivent savoir qu'il ne faut pas jouer avec le feu.
Ceux qui ont des oreilles devraient prêter attention à ces avertissements.