Tchad : un enfant de 14 ans meurt noyé au fleuve en se lavant, il a vécu 5 ans à la rue. © Dakouna Espoir
Ahmat, un enfant âgé de 14 ans qui a vécu pendant cinq à la rue, est mort lundi après s'être noyé au fleuve, à Walia, dans le 9ème arrondissement de N'Djamena.
Le jeune garçon s'y était rendu pour se laver. Son corps n'a été retrouvé que le lendemain, mardi 6 octobre, informe le Centre Dakouna Espoir qui encadre des enfants et jeunes des rues.
Le corps a été déposé à la morgue par les agents du Commissariat d'ordre public n°9. Il a ensuite été retiré par les parents et enterré au cimetière de Lamadji.
Le jeune garçon s'y était rendu pour se laver. Son corps n'a été retrouvé que le lendemain, mardi 6 octobre, informe le Centre Dakouna Espoir qui encadre des enfants et jeunes des rues.
Le corps a été déposé à la morgue par les agents du Commissariat d'ordre public n°9. Il a ensuite été retiré par les parents et enterré au cimetière de Lamadji.
Tchad : un enfant de 14 ans meurt noyé au fleuve en se lavant, il a vécu 5 ans à la rue. © Dakouna Espoir
Le gouvernement appelé à faire plus d'efforts pour protéger les enfants
Le Centre Dakouna Espoir rappelle au gouvernement "son obligation de protéger tous les enfants sans distinction contre la violence, les mauvais traitements et le manque de soins et d’attention de la part de toutes les personnes qui s’occupent d’eux, conformément à l’article 19 de la Convention Relative des Droits de l’Enfant."
"L’État doit aussi mettre des moyens à la disposition des organisations de la société civile qui œuvrent pour la protection des enfants, surtout en cette situation de pandémie de Covid19 afin de soustraire les enfants des rues et les réintégrer dans la société à travers des actions concrètes de défense et de protection des droits de l’enfant", préconise Aleva Ndavogo Jude, l'un des fondateurs de Dakouna Espoir.
Le Centre Dakouna Espoir rappelle au gouvernement "son obligation de protéger tous les enfants sans distinction contre la violence, les mauvais traitements et le manque de soins et d’attention de la part de toutes les personnes qui s’occupent d’eux, conformément à l’article 19 de la Convention Relative des Droits de l’Enfant."
"L’État doit aussi mettre des moyens à la disposition des organisations de la société civile qui œuvrent pour la protection des enfants, surtout en cette situation de pandémie de Covid19 afin de soustraire les enfants des rues et les réintégrer dans la société à travers des actions concrètes de défense et de protection des droits de l’enfant", préconise Aleva Ndavogo Jude, l'un des fondateurs de Dakouna Espoir.
Tchad : un enfant de 14 ans meurt noyé au fleuve en se lavant, il a vécu 5 ans à la rue. © Dakouna Espoir