Un officier de l'armée tchadienne a été froidement assassiné dans la soirée de jeudi par un chef service de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS), à Farcha Modjorio. Il s'agit d'Adoum Rozi, agent de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS) qui s'est rendu à bord de son véhicule à Farcha Amssenene, chez Brahim Nokour où se trouvait le colonel Guihini Nguendeye Wahilimi.
Après avoir salué les gens qui jouaient au scrabble, Adoum Rozi prend place pour quelques minutes avant d'appeler le colonel Guihini Nguendey Wahilimi pour une petite concertation hors de la cour de la maison. Rien ne présageait qu'un contentieux opposait ces deux proches susceptibles d'attirer le moindre soupçon des autres qui jouaient au scrabble. Une fois dehors, Adoum Rozi a asséné un coup de couteau mortel au colonel Guihini Nguendeye Wahilimi, qui a fini par rendre l'âme après son évacuation à l'hôpital.
L'assassin Adoum Rozi, un chef de service de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS), après sa forfaiture, a pris la poudre escampette sous le regard du propriétaire de la maison. Celui-ci, face à un acte d'une telle gravité, aurait dû empêcher le meurtrier de fuir ou alerter la police afin qu'elle puisse mettre la main sur l'assassin.
L'assassinat du colonel Guihini Nguendeye Wahilimi a entraîné des représailles à Faya sur les proches d'Adoum Rozi qui se sont mis à l'abri en choisissant la clandestinité tant à N'Djamena qu'à Faya Largeau. La mort de ce dernier a suscité beaucoup d'émotion dans la région du grand du BET où il jouit d'une bonne réputation en tant qu'officier de l'armée tchadienne très intrépide et à la fois aguerri.
Il a toujours fait ses preuves sur le champ de bataille, nous confient quelques officiers. D'après une source, il a joué un rôle dans la stabilisation du Nord du Tchad après la chute du Khadafi et aurait livré une bataille sans merci contre les trafics de tout genre dans le septentrion tchadien. Il a été interpellé puis gardé dans les locaux de l'ANS après avoir été accusé d'être en intelligence avec des mouvements rebelles tchadiens hostiles au régime du président Idriss Déby. Quelques temps après sa libération, il a été promu en tant que responsable de la répression anti-fraude dans tout le BET.
La victime a occupé plusieurs postes de commandement, tant dans l'armée qu'au cours de son passage dans plusieurs mouvements rebelles.
Les forces de l'ordre cherchent activement Adoum Rozi qui est toujours en fuite. Elles entendraient mettre à contribution les forces des pays voisins pour interpeller le présumé assassin, sachant que ce dernier détiendrait un passeport sénégalais. Le mobile de cet assassinat demeure un mystère.
Après avoir salué les gens qui jouaient au scrabble, Adoum Rozi prend place pour quelques minutes avant d'appeler le colonel Guihini Nguendey Wahilimi pour une petite concertation hors de la cour de la maison. Rien ne présageait qu'un contentieux opposait ces deux proches susceptibles d'attirer le moindre soupçon des autres qui jouaient au scrabble. Une fois dehors, Adoum Rozi a asséné un coup de couteau mortel au colonel Guihini Nguendeye Wahilimi, qui a fini par rendre l'âme après son évacuation à l'hôpital.
L'assassin Adoum Rozi, un chef de service de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS), après sa forfaiture, a pris la poudre escampette sous le regard du propriétaire de la maison. Celui-ci, face à un acte d'une telle gravité, aurait dû empêcher le meurtrier de fuir ou alerter la police afin qu'elle puisse mettre la main sur l'assassin.
L'assassinat du colonel Guihini Nguendeye Wahilimi a entraîné des représailles à Faya sur les proches d'Adoum Rozi qui se sont mis à l'abri en choisissant la clandestinité tant à N'Djamena qu'à Faya Largeau. La mort de ce dernier a suscité beaucoup d'émotion dans la région du grand du BET où il jouit d'une bonne réputation en tant qu'officier de l'armée tchadienne très intrépide et à la fois aguerri.
Il a toujours fait ses preuves sur le champ de bataille, nous confient quelques officiers. D'après une source, il a joué un rôle dans la stabilisation du Nord du Tchad après la chute du Khadafi et aurait livré une bataille sans merci contre les trafics de tout genre dans le septentrion tchadien. Il a été interpellé puis gardé dans les locaux de l'ANS après avoir été accusé d'être en intelligence avec des mouvements rebelles tchadiens hostiles au régime du président Idriss Déby. Quelques temps après sa libération, il a été promu en tant que responsable de la répression anti-fraude dans tout le BET.
La victime a occupé plusieurs postes de commandement, tant dans l'armée qu'au cours de son passage dans plusieurs mouvements rebelles.
Les forces de l'ordre cherchent activement Adoum Rozi qui est toujours en fuite. Elles entendraient mettre à contribution les forces des pays voisins pour interpeller le présumé assassin, sachant que ce dernier détiendrait un passeport sénégalais. Le mobile de cet assassinat demeure un mystère.