En préparation de la Journée Mondiale de l'Alimentation (JMA), observée le 16 octobre de chaque année, une conférence de presse a eu lieu le jeudi 12 octobre, dans les locaux du ministère de l'Agriculture. Cette initiative est le fruit d'une collaboration entre le gouvernement du Tchad et ses partenaires.
Au cours de cet échange avec les médias, le conférencier a mis l'accent sur l'importance de l'eau dans la vie sur Terre, soulignant qu'elle constitue plus de 50 % du corps humain et recouvre environ 71 % de la surface terrestre. Cependant, sur cette vaste quantité, seuls 2,5 % sont constitués d'eau douce, adaptée à la consommation humaine et à l'agriculture. Il a révélé que l'agriculture est responsable de 72 % des prélèvements d'eau à l'échelle mondiale.
Le Tchad dispose de 5,60 millions d'hectares de terres irrigables, dont 335 000 hectares sont facilement irrigables, et de ressources en eau de surface et souterraine abondantes, équivalentes à environ 460 milliards de mètres cubes.
Le gouvernement tchadien a aménagé environ 48 000 hectares de terres agricoles, soit environ 12 % des terres irrigables. Le conférencier a souligné que malgré ces avancées, le Tchad doit relever de nombreux défis pour garantir la sécurité alimentaire et nutritionnelle du pays.
Il a également rappelé que le pays compte 39 millions d'hectares de terres cultivables, équivalant à 30 % du territoire national, ainsi que 84 millions d'hectares de pâturages naturels qui abritent un cheptel de plus de 134 347 269 têtes et une faune variée, formant un précieux patrimoine en biodiversité.
Marc Mankoussou, représentant de la FAO au Tchad, a mentionné que la décennie d'action pour l'eau, de 2018 à 2028, a été créée pour atteindre les objectifs de développement durable liés à l'eau et à l'assainissement du Programme 2030. Il a souligné que les actions de la FAO s'effectuent en étroite collaboration avec les ministères, notamment les services techniques, comme l'ANADER, la direction de Génie rural, et les directions en charge des services pastoraux.
En réponse aux questions des journalistes, concernant l'eau et la famine, le secrétaire d'État a reconnu que le Tchad fait face à des contraintes techniques et financières, notamment liées à la disponibilité de l'offre alimentaire qui est inférieure à la demande.
Au cours de cet échange avec les médias, le conférencier a mis l'accent sur l'importance de l'eau dans la vie sur Terre, soulignant qu'elle constitue plus de 50 % du corps humain et recouvre environ 71 % de la surface terrestre. Cependant, sur cette vaste quantité, seuls 2,5 % sont constitués d'eau douce, adaptée à la consommation humaine et à l'agriculture. Il a révélé que l'agriculture est responsable de 72 % des prélèvements d'eau à l'échelle mondiale.
Le Tchad dispose de 5,60 millions d'hectares de terres irrigables, dont 335 000 hectares sont facilement irrigables, et de ressources en eau de surface et souterraine abondantes, équivalentes à environ 460 milliards de mètres cubes.
Le gouvernement tchadien a aménagé environ 48 000 hectares de terres agricoles, soit environ 12 % des terres irrigables. Le conférencier a souligné que malgré ces avancées, le Tchad doit relever de nombreux défis pour garantir la sécurité alimentaire et nutritionnelle du pays.
Il a également rappelé que le pays compte 39 millions d'hectares de terres cultivables, équivalant à 30 % du territoire national, ainsi que 84 millions d'hectares de pâturages naturels qui abritent un cheptel de plus de 134 347 269 têtes et une faune variée, formant un précieux patrimoine en biodiversité.
Marc Mankoussou, représentant de la FAO au Tchad, a mentionné que la décennie d'action pour l'eau, de 2018 à 2028, a été créée pour atteindre les objectifs de développement durable liés à l'eau et à l'assainissement du Programme 2030. Il a souligné que les actions de la FAO s'effectuent en étroite collaboration avec les ministères, notamment les services techniques, comme l'ANADER, la direction de Génie rural, et les directions en charge des services pastoraux.
En réponse aux questions des journalistes, concernant l'eau et la famine, le secrétaire d'État a reconnu que le Tchad fait face à des contraintes techniques et financières, notamment liées à la disponibilité de l'offre alimentaire qui est inférieure à la demande.