Lancement d'une offre de formation professionnelle gratuite par l'association "secours et bien être" (ASBE) au Tchad. © Alwihda Info
L'association "secours et bien être" (ASBE) a annoncé ce vendredi 18 janvier dans le 9ème arrondissement de N'Djamena, au cours d'une conférence de presse, le lancement d'une offre de formation professionnelle gratuite des jeunes en vue de contribuer à la réduction de taux du chômage au Tchad.
Le conférence de presse été animée par les responsables de l'association : le député Djimet Clement Bagao, Issa Sinna secrétaire Général INUSADE-EASSOB N'Djamena, Gassina Pierre, directeur des études, chargé de planification, Assadi Michel, chef de service scolarité, et Douka Ehba, directeur de l'école des agents sanitaires et sociaux de Bongor (EASSOB).
L'association propose, en partenariat avec l'Institut universitaire des sciences et d'administration de N'Djamena (INSUADE) et l'EASSOB, d'aider les bacheliers qui n'ont pas le moyens à continuer leurs études. Le projet est actuellement dans sa phase de démarrage à N'Djamena et Bongor. Il doit permettre d'assister l'État en matière de formation des jeunes pour lutter contre la chômage.
Selon Douka Ehba, directeur de École de l'EASSOB, "vu la situation actuelle que traverse le pays, L'INSUADE et l'EASSOB, conscients des difficultés évidentes que rencontrent la plupart des parents à prendre en charge la formation professionnelle de leurs progéniture, initient ce projet qui consiste à former des jeunes aptes à exercer un métier."
Au regard de toutes ces préoccupations, le présente projet vise particulièrement à améliorer et orienter par de nouvelles approches le suivi des apprenants et des lauréats sur le marché de l'emploi et de l'entrepreneuriat. Dans deux villes où le projet est implanté, la pauvreté est galopante. Dépourvus de moyens financiers, les jeunes bacheliers ont du mal à s'offrir une formation de qualité. Ils préfèrent noyer le plus souvent leurs soucis dans la consommation d'alcool et des stupéfiants. Bon nombre d'eux sont exposés à des risques en tout genre qui constituent une source d'insécurité.
Les jeunes diplômés du supérieur n'ont aucune orientation professionnelle et ont de la peine à s'insérer dans la vie active. Eux aussi ne sont pas à l'abri de l'alcoolisme, de la drogue et du vol. Ils ternissent ainsi leur savoir et leur personnalité. Il en découle donc de cette dégradation des conditions de vies des diplômés sans emploi et des bacheliers sans formation adéquates, un phénomène de découragement des jeunes et de leurs parents vis-à-vis de la nouvelle politique de scolarisation et d'alphabétisation.
Le conférence de presse été animée par les responsables de l'association : le député Djimet Clement Bagao, Issa Sinna secrétaire Général INUSADE-EASSOB N'Djamena, Gassina Pierre, directeur des études, chargé de planification, Assadi Michel, chef de service scolarité, et Douka Ehba, directeur de l'école des agents sanitaires et sociaux de Bongor (EASSOB).
L'association propose, en partenariat avec l'Institut universitaire des sciences et d'administration de N'Djamena (INSUADE) et l'EASSOB, d'aider les bacheliers qui n'ont pas le moyens à continuer leurs études. Le projet est actuellement dans sa phase de démarrage à N'Djamena et Bongor. Il doit permettre d'assister l'État en matière de formation des jeunes pour lutter contre la chômage.
Selon Douka Ehba, directeur de École de l'EASSOB, "vu la situation actuelle que traverse le pays, L'INSUADE et l'EASSOB, conscients des difficultés évidentes que rencontrent la plupart des parents à prendre en charge la formation professionnelle de leurs progéniture, initient ce projet qui consiste à former des jeunes aptes à exercer un métier."
Au regard de toutes ces préoccupations, le présente projet vise particulièrement à améliorer et orienter par de nouvelles approches le suivi des apprenants et des lauréats sur le marché de l'emploi et de l'entrepreneuriat. Dans deux villes où le projet est implanté, la pauvreté est galopante. Dépourvus de moyens financiers, les jeunes bacheliers ont du mal à s'offrir une formation de qualité. Ils préfèrent noyer le plus souvent leurs soucis dans la consommation d'alcool et des stupéfiants. Bon nombre d'eux sont exposés à des risques en tout genre qui constituent une source d'insécurité.
Les jeunes diplômés du supérieur n'ont aucune orientation professionnelle et ont de la peine à s'insérer dans la vie active. Eux aussi ne sont pas à l'abri de l'alcoolisme, de la drogue et du vol. Ils ternissent ainsi leur savoir et leur personnalité. Il en découle donc de cette dégradation des conditions de vies des diplômés sans emploi et des bacheliers sans formation adéquates, un phénomène de découragement des jeunes et de leurs parents vis-à-vis de la nouvelle politique de scolarisation et d'alphabétisation.