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Le Réseau d'appui aux filières agricoles en développement (RAFAD) et l'ONG "La Joie" ont organisé ce mardi 9 avril à Bakara, une cérémonie de récolte de riz, à travers une nouvelle technique d'irrigation sous plastique. Cette technique expérimentée depuis novembre 2018, a permis la récolte d'un champ de riz.
Les semences récoltées ont été importées de la Corée du Sud, tandis que des semences tchadiennes sont également expérimentées. Les résultats sont concluants.
"La première phase de ce projet, pour moi c'est d'abord une réussite parce que nous avons essayé, et que nous sommes arrivés à un petit résultat. Ce résultat montre clairement qu'il y a une opportunité autour de ce projet pour pouvoir résoudre le problème de l'insécurité alimentaire au Tchad", selon le coordonateur national du RAFAD, Doulgue Aime.
Le président de l'ONG "La Joie" a estimé que le Tchad a beaucoup de potentialités en matière de riziculture. Il s'est dit optimiste sur l'expérimentation de cette technique d'irrigation au Tchad.
Pour sa part, le représentant du ministère de la Production, de l'Irrigation et des Equipements agricoles, a estimé que "l'initiative est louable car elle est efficace. Les défis de l'insécurité alimentaire, la famine et la dégradation de l'environnement peuvent être relevés par cette nouvelle technologie d'irrigation".
Les semences récoltées ont été importées de la Corée du Sud, tandis que des semences tchadiennes sont également expérimentées. Les résultats sont concluants.
"La première phase de ce projet, pour moi c'est d'abord une réussite parce que nous avons essayé, et que nous sommes arrivés à un petit résultat. Ce résultat montre clairement qu'il y a une opportunité autour de ce projet pour pouvoir résoudre le problème de l'insécurité alimentaire au Tchad", selon le coordonateur national du RAFAD, Doulgue Aime.
Le président de l'ONG "La Joie" a estimé que le Tchad a beaucoup de potentialités en matière de riziculture. Il s'est dit optimiste sur l'expérimentation de cette technique d'irrigation au Tchad.
Pour sa part, le représentant du ministère de la Production, de l'Irrigation et des Equipements agricoles, a estimé que "l'initiative est louable car elle est efficace. Les défis de l'insécurité alimentaire, la famine et la dégradation de l'environnement peuvent être relevés par cette nouvelle technologie d'irrigation".